1 Samuel 24:2-23; Psaume 57:1-12.

Lesson 214 - Senior

Memory Verse
"Que toute personne soit soumise aux autorités supérieures; car, il n’y a point d’autorité qui ne vienne de Dieu, et les autorités qui existent ont été instituées de Dieu" (Romains 13:1).
Cross References

I L’Implacable Poursuite de David par Saül

1. Les 3.000 hommes choisis par Saül surpassaient de cinq fois la troupe de David: 1 Samuel 24:2-4; 23:13; Psaume 33:16-20.

2. La persécution et l’épreuve de David inspiraient une grande confiance en Dieu: Psaume 57:1-12.

II La Noble Conduite de David

1. Ceux qui ne cherchaient pas la conduite de Dieu donnèrent un mauvais conseil pour amener David à agir avec précipitation: 1 Samuel 24:5; Psaume 1:1, 2; 1 Rois 12:6-11; Job 2:9, 10.

2. David regretta son acte, quand bien même cela paraissait inoffensif: 1 Samuel 24:6-8; Exode 22:28; Actes 23:5; Romains 13:1; 1 Pierre 2:17

3. David respecta Saül en tant que roi et oint du Seigneur: 1 Samuel 24:9, 11; 15:30; 10:24; Daniel 6:21.

4. Le témoignage de David prouva qu’il n’avait ni rancune, ni convoitise pour le royaume: 1 Samuel 24:10-12; Galates 5:20; Jean 5:44.

5. David laissait le jugement et la vengeance à Dieu et avait un vrai amour pour ses ennemis: 1 Samuel 24:13-16; Exode 23:4, 5; Lévitique 19:18; Deutéronome 32:35; Psaume 20:7-9; 35:1-28; Proverbes 20:22; 24:17, 29; 25:21, 22; Matthieu 5:43, 44; Hébreux 10:30.

III Le Changement Temporaire dans l’Attitude de Saül

1. Saül, touché par la miséricorde et la piété de David, se réconcilia avec lui: 1 Samuel 24:17; Proverbes 15:1.

2. Saül reconnut la supériorité de la justice de David: 1 Samuel 24:18-20; Proverbes 25:21, 22.

3. Saül savait que Dieu était avec David et qu’il allait être le futur roi: 1 Samuel 24:21.

4. Un armistice fut déclaré et un serment fut fait pour la postérité de Saül: 1 Samuel 24:22, 23; 20:15; 2 Samuel 9:1-11.

Notes
COMMENTAIRE

Saül, le Roi Rejeté et David, le Fugitif

Le texte de notre présente leçon nous apporte deux personnages Bibliques pour que nous puissions tirer profit de l’examen leur vie et des motifs derrière leurs actions. Saül était roi d’Israël, oint par l’homme de Dieu en obéissance aux instructions de Dieu, et accepté par la nation. Après une suite de méfaits, de rébellions, et de désobéissances, Saül fut rejeté par Dieu, mais il lui fut permis de demeurer roi. L’autre est David, homme relativement jeune, oint aussi par l’homme de Dieu en obéissance aux instructions de Dieu, accepté comme leader par un petit nombre de gens et acclamé par plusieurs comme un héros et un homme vaillant. David rendait un service humble, volontaire et obéissant partout où il était placé par Dieu; mais, pendant des années, il fut obligé de fuir son peuple et la nation qu’il aimait si chèrement.

Il y a des moments où, lorsque nous voyons s’exécuter le plan de Dieu en nous et en d’autres, cela nous semble être d’étranges paradoxes. Même le serviteur fidèle de Dieu, David, pria Dieu pour lui demander de l’aide et de la force lorsque les méchants l’oppressaient et le persécutaient. Il rappela à Dieu que "le méchant se glorifie de sa convoitise, et que le ravisseur outrage, méprise l’Eternel". Il déclara plus loin que le "méchant dit avec arrogance: Il ne punit pas! Il n’y a point de Dieu! – Voilà toutes ses pensées. Il dit en son cœur: Je ne chancelle pas, je suis pour toujours à l’abri du malheur!" (Psaume 10:3, 4, 6). Mais en tout ceci, David apprit une bonne leçon; à cause des dures épreuves, sa force et sa sagesse se furent accrues, et sa confiance en Dieu fut consolidée. Il savait que Dieu enverrait du Ciel de l’aide, et le sauverait de l’opprobre des méchants qui voudraient le harceler, bien qu’ils aient déjà tendu un filet sous ses pas, et creusé une fosse devant lui. De toute évidence, David vit Dieu répondre, et toutes choses concourir à son bien, car il dit que les méchants sont tombés dans les pièges qu’ils lui avaient tendus. En tout ceci, David glorifia Dieu (Psaume 57:4, 7-12).

Les épreuves et les adversités ne sont pas toujours des indications que Dieu a détourné Sa face de nous. Dieu regarde avec plaisir et amour Ses enfants souffrants qu’Il a trouvés bon de soumettre aux épreuves et aux afflictions, afin que les imperfections soient ôtées de leur vie. Le fait que les nuages envahissent nos horizons pour cacher le soleil de l’approbation manifeste de Dieu ne signifie pas que ce soleil a cessé de briller. Ces moments d’épreuves arrivent à tous ceux qui sont pieux, qui aiment la justice et qui désirent la perfection. Pendant que nous traversons de telles épreuves, il est bon que nous disions comme David: "Mon cœur est affermi, ô Dieu! Mon cœur est affermi; je chanterai, je ferai retentir mes instruments. Elève-toi sur les cieux, ô Dieu! Que ta gloire soit sur toute la terre!" (Psaume 57:8, 12).

Le fait d’être renvoyé de la maison et rejeté de ses bien-aimés apporterait une grande souffrance à n’importe qui. Le fait d’être considéré comme un ennemi et poursuivi comme un hors-la-loi donnerait bien des soucis, même à un David, surtout lorsqu’il n’y avait pas une intention mauvaise ou coupable dans son cœur. Etre obligé de vivre dans les cavernes, dans la solitude, de trouver la nourriture et les nécessités de la vie, et être privé des conforts de la maison, de la sécurité et de la consolation que cela apporte, connaissant toutes les douleurs de la faim, de la soif, de l’insomnie et la limite de l’angoisse mentale pour notre corps humain, éprouveraient l’âme même du plus dévot. Mais toutes ces épreuves arrivèrent à l’homme que Dieu avait choisi pour être roi – un homme selon le cœur de Dieu – et servirent à lui enseigner une vérité encore plus profonde qu’il n’en avait encore connue, et à lui donner une confiance plus sublime et plus complète en Dieu qu’il n’en avait encore trouvée nécessaire ou possible. "Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu" (Romains 8:28). David dit: "Quand mon esprit est abattu au-dedans de moi, toi, tu connais mon sentier" (Psaume 142:4). Et il le dit avec foi, car il avait l’assurance, quand bien même les nuages étaient finalement plus épais, et les oppressions plus grandes: "Les justes viendront m’entourer, quand tu m’auras fait du bien" (Psaume 142:8).

Saül était différent de David. Lorsque Saül fut premièrement oint roi, il était humble d’esprit, mais tôt il devint obstiné et têtu. "Sa force n’augmenta pas" pendant la marche à travers les vallées d’épreuves pour faire l’expérience de la providence divine, dans ses épreuves purificatrices: "Sa foi non plus n’augmenta pas" pour voir la justice de Dieu comme cela nous est révélé lorsque nous suivons le précepte éternel: "Le juste vivra par la foi" (Psaume 84:8; Romains 1:17). Saül alla plutôt avec sa propre force, avec sa propre sagesse, avec sa propre volonté, et selon ses propres désirs et ses propres plans. Sa vie fut un échec total. Elle aurait pu être un succès total s’il avait marché dans la voie de Dieu.

L’Oint de l’Eternel

Les prophètes, les sacrificateurs et les rois de l’Ancien Testament étaient oints pour leur travail. Ceci était une indication que leur appel était de Dieu, et que, aussi longtemps qu’ils continueraient conformément à la volonté de Dieu, ils seraient soutenus, protégés, et conduits par Dieu. L’onction était aussi le symbole d’un plus grand sacre – un sacre spirituel – qui doit être rendu accessible à tous ceux que Dieu appellerait pour être Ses enfants dans la dispensation du Nouveau Testament. L’onction de l’Ancien Testament était nécessaire pour ces ministres ordonnés par Dieu, quelle que soit la position à laquelle ils étaient appelés, étant donné que leur travail n’aurait pas été couronné de succès sans elle. Pour cela, le baptême du Saint-Esprit et de feu – l’onction spirituelle qui est maintenant donnée à tous ceux qui, diligemment, la cherchent avec foi – est absolument vital et nécessaire pour le succès dans notre travail et dans notre service pour Dieu, qu’importe la branche ou la phase de son service auquel nous sommes appelés.

Saül avait été oint par Samuel. L’Esprit de Dieu était descendu sur lui à ce moment-là pour témoigner du fait que l’approbation de Dieu était sur lui. Nous avons vu que le nouveau cœur que Dieu lui a donné prouve son état de piété. Saül prophétisa parmi les prophètes, et ceci prouva qu’il avait l’approbation de l’Esprit de Dieu et un certain investissement de pouvoir, et qu’il était, à ce moment-là, en train de marcher très près de Dieu. Mais nous savons que l’Esprit de Dieu peut être facilement attristé. Nous avons été avertis du danger que nous courons en le faisant au risque d’être définitivement rejeté par Dieu, si volontairement et malicieusement nous y persistons. Il vint un moment où Saül attrista tellement l’Esprit de Dieu qu’il ne sentait plus cet Esprit le conduire. Mais David reconnut que Saül avait été placé dans la position de roi par Dieu, et qu’il revenait à Dieu et à Dieu seul de l’enlever.

Dans un état ou une province terrestre guarant de la loi, là où on respecte l’ordre et la bonne administration, il est une vérité établie que le pouvoir qui vote une loi est le même qui puisse la changer, et l’autorité qui nomme un individu à une position est la même qui puisse l’ôter de cette position. Les seules personnes qui sont en désaccord avec ce principe sont celles qui se rebellent contre l’administration régulière et qui sont en réalité des anarchistes ou des rebelles. Il n’y a de place pour aucune de ces méchancetés dans le royaume des administrations justes de Dieu ou dans les coeurs des hommes de Dieu. David était loin de l’une ou de l’autre classification, comme cette leçon le prouve.

David fut oint pour être roi peu après que Dieu a rejeté Saül. Mais il y avait en David un esprit qui ne lèverait pas sa main pour se procurer ou défendre ce qui peut sembler avoir été ses droits, quand bien même ces droits furent donnés par Dieu et non entièrement recherchés par lui (1 Corinthiens 13: 5). Il aurait pu facilement penser que, comme Dieu l’avait fait roi, son devoir était de conduire un royaume juste pour l’honneur et la gloire de Dieu, et de rejeter tout ce qui s’opposerait ou se rebellerait contre Dieu. Il aurait pu facilement penser que, parce que son onction fut après le rejet de Saül, et parce que Saül avait appris qu’un autre homme allait occuper son trône, c’était sa responsabilité et son devoir de mettre à exécution la volonté de Dieu si clairement indiquée.

Il y a des moments où nous pensons que nous pouvons clairement voir la volonté de Dieu dans certaines choses; mais cependant nous ne pouvons pas agir; autrement, nous serons en train de devancer le temps de Dieu. La volonté finale de Dieu peut nous être révélée indépendamment de Son temps pour l’exécution de cette volonté indiquée. Nous devons être sûrs que nous attendons non seulement la volonté de Dieu en toutes choses, mais aussi le temps de Dieu!

Puisque Dieu est omnipotent, s’Il désire que quelque chose soit fait, Il s’assure que chaque obstacle qui obstruerait ou s’opposerait à Sa volonté soit enlevé. Il a été bien dit que Dieu exécute Ses desseins par les actions des hommes qui agissent selon leur libre choix. Dieu est souverain et Il peut exercer Sa souveraineté sans toutefois violer le libre arbitre dont Il a doté l’homme.

C’est à travers l’évolution dans l’exécution du plan de Dieu en toute chose que nous connaissons avec certitude la volonté de Dieu relative à ce plan précis. Si Dieu ne pourvoit pas pleinement à une chose, il peut être dit alors que ce n’est manifestement pas sa parfaite volonté que cette chose soit entreprise à ce moment-là.

Avant le temps où nous aurons à assumer une responabilité, Dieu peut nous notifier la responsabilité qui doit être la nôtre, afin que nous puissions nous préparer par la prière, la consécration et par l’étude pour cette position. Il est rare que Dieu puisse avoir confiance en quelqu’un parmi nous pour une telle information. Mais si Dieu choisit de le faire de cette manière, Il a le droit souverain d’agir ainsi. Et s’Il choisit plutôt de nous préparer dans la longue et exigente école d’expériences pour une position à laquelle Il nous appelle sans oser nous le dire d’avance pour notre propre bien, c’est aussi Son droit souverain. Mais, si nous prenons en mains n’importe quelle affaire et refusons d’attendre la disposition de Dieu, selon Sa sagesse infinie et Son plan irréprochable, nous trouverons la volonté de Dieu pour nous entravée et Son plan retardé par notre conduite peu sage. Nous trouverons aussi que notre "Expérience du désert" sera nécessairement plus longue et notre opportunité de servir pleinement Dieu retardée, même plus.

David suivit seulement une petite partie de ce qui aurait pu sembler être le sage conseil de ceux qui s’étaient associés à lui. Mais en faisant même ceci, il commit un acte qu’il regretta immédiatement. Couper une partie du vêtement royal ne semblerait qu’une chose insignifiante, surtout qu’il avait été incité à ôter plutôt la vie du roi. Ce qu’il fît porta atteinte à la dignité du roi, mais cela était une chose insignifiante comparativement à ce qu’il était bien capable de faire, et qui serait apparemment justifié s’il l’avait fait. Ceux qui conseillèrent David appuyèrent leurs arguments par une fausse interprétation des paroles que Dieu lui avait dites pour le rassurer et sur lesquelles sans aucun doute il s’était fortement appuyé à ce moment d’épreuve.

Mais ces hommes ne connaissaient pas la voix de Dieu comme David, et il est évident qu’ils ne désiraient pas, par-dessus tout, suivre la direction de Dieu comme David. David avait l’intention de laisser Dieu mener complètement à bien chaque situation; car il savait que c’est seulement de cette manière que Dieu recevrait gloire et honneur, et que le plan serait un succès. Certains auraient dit qu’il eût été justifié en faisant ainsi, puisqu’il lui fut alors possible de montrer le morceau de vêtement comme une preuve qu’il ne souhaitait pas faire du mal à Saül; mais son apparition même à l’entrée de la caverne, d’où Saül venait de sortir, en est une preuve vivante. Même pour ce léger acte de belligérance contre l’oint du Seigneur, David souffrit dans son esprit. Il avait un esprit sensible à l’égard de Dieu et de la volonté de Dieu. Il priait constamment que Dieu ne lui permît pas de devenir, de quelque manière que ce soit, insensible en esprit ou dans son comportement envers Dieu ou le peuple de Dieu. Ceci fut l’une des raisons pour lesquelles Dieu a dit que David était un homme selon Son cœur, et qu’il avait un cœur parfait. David recherchait l’honneur et la gloire de Dieu, et le bien-être du peuple de Dieu en tout ce qui était fait; et quand bien même il commettait de graves erreurs, il était toujours prêt et bien disposé à les accepter et à s’en repentir amèrement (Psaume 51: 3 - 21). David eut un grand respect pour celui que Dieu avait choisi et oint, sachant que Dieu était capable de s’occuper de ses intérêts et de son intronisation en Son temps.

Avoir considéré l’onction de Saül avec un degré moindre aurait logiquement amené David à sous-estimer sa propre onction, ce qui serait contraire à son désir. La direction de Dieu était nette lorsque Samuel permit aux sept fils d’Isaï de passer devant lui sans vider la fiole d’huile sur une tête, parce qu’il n’avait pas senti le témoignage de l’Esprit de Dieu que l’élu de Dieu était apparu. Sans nul doute, David s’était très profondément consacré lorsqu’il rentra en hâte des champs pour recevoir son onction. Il avait, au-delà de tout doute, fait de même durant des mois et des années avant ce moment. Il aurait été indigne de l’onction s’il ne s’était pas ainsi préparé à cela. Et, minimiser les avantages spéciaux de cette onction sur quelqu’un d’autre voudrait simplement dire que sa propre onction n’avait pas de valeur plus grande que celle que n’importe qui peut mettre de côté, comme bon lui semble.

En tant qu’enfants de Dieu et collaborateurs dans le vignoble de Dieu, un engagement similaire lie chacun de nous en ce qui concerne notre attitude envers ceux que Dieu oint et place à des positions de responsabilité spéciale dans Son vignoble. Ces gens sont appelés à une vocation plus élévée que celle des rois qui ont une autorité éphémère. La leur ne constitue pas un diadème, ni un sceptre, ni un trône terrestre. Ils n’ont pas de pouvoir monarcal absolu. Leur leadership et leur autorité peuvent même ne pas être reconnus par le monde en général. Mais leur nomination et leur responsabilité sont cependant réelles.

Ceux que Dieu a nommés pour nourrir le troupeau de Dieu, pour le surveiller, le réprimander et le discipliner lorsque cela est nécessaire, doivent être considérés par nous à un degré non moins élevé que la considération que David avait pour Saül, l’oint du Seigneur. Ils tiennent ferme ou tombent devant Dieu et pas nécessairement devant l’homme. Ils doivent rendre compte à Dieu pour tout ce qu’ils disent et font. S’ils sont infidèles dans leur responsabilité, c’est Dieu qui les disciplinera et les rejettera si cela est nécessaire pour Sa bonne cause. Notre devoir est d’avoir une grande considération pour l’onction de Dieu et de laisser ces choses qui sont celles de Dieu complètement dans les mains du Seigneur pour qu’Il les traite comme cela Lui plaît et quand cela Lui plaît.

Il y a beaucoup de qualités merveilleuses dans la vie de ce roi pieux d’Israël. On peut beaucoup plus écrire sur ce sujet particulier, aussi bien que sur d’autres qui sont suggérés par le texte de cette leçon. Dans une prochaine leçon où David épargne de nouveau la vie de Saül, nous aurons une autre occasion d’étudier davantage au sujet de ces qualités pieuses et des caractéristiques qui nous parlent des conditions requises que Dieu établit à ceux de cette époque. Nous apprendrons aussi davantage des plus grandes clauses qui s’imposent à nous qui vivons dans les pleines bénédictions de l’Evangile – le temps que les hommes pieux des temps anciens espéraient avec anticipation et admiration, en s’émerveillant des choses glorieuses qui seraient gratuitement accordées à tous ceux qui chercheront Dieu dans la foi et dans la vraie adoration.

Questions
  1. Qui étaient oints du temps de l’Ancien Testament?
  2. Comment les gens sont-ils oints aujourd’hui? Et quels sont les avantages dans les promesses faites à ceux qui sont ainsi oints?
  3. Pourquoi David fut-il un fugitif?
  4. Est-il toujours sage de suivre le conseil de ceux qui ne suivent pas nécessairement l’Esprit de Dieu?
  5. Comment doit-on savoir si c’est la volonté de Dieu de faire une certaine chose?
  6. Quelles autres choses devons-nous rechercher en dehors de la volonté de Dieu dans nos plans?
  7. Est-ce que le Saint-Esprit conduit dans des voies opposés? (Lisez 1 Corinthiens 14: 33, 40).
  8. A qui appartient la vengeance?
  9. Quelle attitude David adopta-t-il vis-à-vis de l’onction de Saül?
  10. Quelle promesse David fit-il à Saül après qu’il avait fait la paix?