Psaume 51 : 3 - 21

Lesson 232 - Senior

Memory Verse
"Mais si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché" (1 Jean 1 : 7).
Cross References

I La Prière de David Pour la Justification

1. Il fit appel, comme un pécheur au cœur brisé, à la miséricorde de Dieu : Psaume 51 : 3 ; Luc 15 : 11 - 24 ; 23 : 42 ; Michée 7 : 18, 19 ; Esaïe 43 : 25 ; 44 : 22.

2. La confession de ses péchés et sa prière pour qu’ils fussent effacés, étaient sincères et ferventes : Psaumes 51 : 4, 5 ; 32 : 5 ; 1 Jean 1 : 9.

3. Il reconnut l’énormité de son péché: Psaume 51 : 5, 6 ; Esdras 9 : 5, 6 ; Romains 7 : 12, 13 ; 2 Samuel 12 : 13.

II La Prière de David Pour la Sanctification

1. Il fut convaincu de sa condition intérieure : Psaume 51 : 7 ; Genèse 5 : 3 ; 6 : 5 ; Matthieu 15 : 19 ; Marc 7 : 21 ; Jérémie 17 : 9, 10.

2. Il se rendit compte que Dieu demandait à Son peuple d’être saint : Psaumes 51 : 8 ; 24 : 3, 4 ; Matthieu 5 : 8, 48 ; 1 Thessaloniciens 4 : 3 ; Hébreux 12 : 14 ; 2 Corinthiens 13 : 11 ; Jacques 1 : 4 ; Galates 6 : 15.

3. Il pria pour l’éradication du péché inné et pour la création d’un cœur pur : Psaume 51 : 9 - 12 ; Ephésiens 4 : 17 - 24 ; 5 : 25 - 27 ; Colossiens 3 : 10.

III L’Espérance de David Pour un Service Joyeux

1. Il ne voulait pas être rejeté, comme Saül : Psaume 51 : 13 ; 2 Samuel 8 : 15 ; Jean 15 : 6 ; 1 Corinthiens 9 : 26, 27 ; Matthieu 8 : 12 ; 25 : 30.

2. Il voulait servir Dieu et être un gagneur d’âmes : Psaume 51 : 14, 15 ; Daniel 12 : 3.

3. Il promit qu’il rendrait gloire à Dieu lorsqu’il serait délivré de toutes ses iniquités : Psaume 51 : 16, 17 ; 2 Chroniques 5 : 11 - 14.

4. Il exprima les caractéristiques d’une sincère contrition : Psaume 51 : 18, 19 ; Esaïe 1 : 2 - 20 ; Luc 18 : 9 - 14.

5. Il n’était pas seulement soucieux de lui-même, mais aussi de ceux qui étaient sous son influence, et qui pourraient aussi souffrir à cause de son péché : Psaume 51 : 20, 21 ; Galates 5 : 9.

Notes
COMMENTAIRE

Comme nous étudions la vie de David, nous en tirons beaucoup de leçons précieuses. L’une de celles-ci intervient comme nous étudions ce Psaume et les circonstances qui s’y rattachent.

David avait connu la faveur de Dieu, et avait été un fidèle serviteur de Dieu pour plusieurs années ; mais il échoua lamentablement et tomba dans le pire des péchés. S’il n’avait pas été le genre d’homme qu’il était, il serait demeuré dans son état de chute et n’aurait pas fait un pas pour s’en sortir. Combien nous devons être reconnaissants qu’en plus du récit du péché de David, Dieu nous a donné le récit de sa repentance et de la déclaration que son péché était pardonné!

Lorsque quelqu’un désobéit à Dieu et ne jouit plus de Sa faveur, il se retrouve dans une condition de perversité bien pire que celle dans laquelle il était né, car, lorsqu’un esprit mauvais retourne dans une maison qui a été balayée et ornée, il "prend avec lui sept autres esprits plus méchants que lui ; … et la dernière condition de cet homme est pire que la première" (Matthieu 12 : 45). David avait antérieurement connu la faveur de Dieu. Il avait eu avec Dieu une relation qui, à certains égards, fut aussi belle et aussi étroite que celle de n’importe quel autre personnage de l’Ancien Testament. C’est alors tout à fait naturel, que sa prière pour la restauration fût pour une restauration à la taille de la justice et de la sainteté qu’il avait connues auparavant. Ce qu’il fit n’indique pas que ces deux merveilleuses expériences de justification et d’entière sanctification n’étaient qu’une expérience de grâce. Dans ce Psaume nous avons un plus bel énoncé de l’attitude que l’on doit avoir pour recevoir ces deux expériences, de la condition du cœur avant de les recevoir et du fruit qui en découle lorsqu’elles sont reçues.

La Justification Par la Foi

Nous savons que David avait une fois fait l’expérience de la justification, puisqu’il demanda sa restauration. Nous savons aussi qu’il l’a reçue, car Nathan dit : "L’Eternel pardonne ton péché" (2 Samuel 12 : 13). David vint à la vraie repentance, ne faisant rien pour amoindrir le degré de son péché aux yeux de Dieu et de l’homme. Il plaida seulement pour la miséricorde de Dieu, n’ayant rien de bon pour se recommander à Dieu, et se sentant être le tout premier des pécheurs.

David était coupable de deux des plus mauvais crimes possibles contre la société ; cependant, même le soi-disant moindre péché est horrible devant Dieu, et est suffisant pour causer la séparation d’avec Dieu, et le bannissement complet de Sa faveur. David avait terriblement fait du tort à son prochain ; c’était la loi de Dieu qu’il avait transgressée, et c’était à Dieu qu’il devait répondre. L’horreur et l’énormité de son péché contre la loi infinie d’un Dieu juste, miséricordieux et aimable apparurent si grandes devant lui qu’elles couvrirent mais n’effacèrent pas le mal qu’il avait fait à son prochain. Il devait faire la restitution dans tous les cas où cela était possible, s’il voulait garder la faveur de Dieu. En ce qui le concerne, il a peu à faire, comme il ne pouvait pas redonner la vie au mari assassiné et unir de nouveau la maison qu’il avait brisée.

Si un homme vole un autre homme, il a causé à ce dernier une injustice. Mais il a aussi violé la loi civile, et il sera tenu responsable envers cette loi. Si la partie offensée veut être remboursée, elle doit intenter son procès civil. Ceci illustre, dans une certaine mesure, les obligations que nous avons les uns envers les autres, et les plus grandes obligations que nous avons envers le Dieu du Ciel.

L’expérience de la justification, le pardon des péchés d’une personne est donnée comme le résultat de la vraie repentance telle que nous la voyons se manifester en David. Cette expérience est connue sous différents noms, chaque nom décrivant une certaine part de son œuvre dans le repentant et pour le repentant.

Cette grande expérience de réconciliation est souvent appelée pardon (Esaïe 55 : 7). Un pardon est accordé par un souverain et, dans ce cas, il est accordé au pécheur repentant par Dieu Lui-même. Le pécheur pardonné ne sera jamais jugé pour ses péchés passés. Christ en a pris la peine en lieu et place.

La justification est un autre nom par lequel cette glorieuse expérience est connue (Romains 5 : 1). Un juge justifie. Justifier, c’est prendre quelqu’un pour juste, ou le considérer comme s’il n’avait jamais péché. L’on pourrait être pardonné sans être jamais digne de confiance. Mais si quelqu’un est justifié, le mal qu’il a fait n’affectera jamais son état dans le futur. Le pardon est, comme la justification, accordé au pécheur.

Nous parlons souvent de cette expérience comme d’une conversion ou d’une régénération (Actes 3 : 19). Etre converti, c’est être né de Dieu. Cela signifie que le pénitent est rendu participant de la nature divine, qu’il entre dans une nouvelle vie, et qu’il est devenu une nouvelle créature. Cette œuvre est accomplie dans le pécheur repentant.

Une autre phase de la nouvelle relation est montrée dans le terme adoption (Galates 4 : 4, 5). Quiconque est né de nouveau est ainsi amené dans la famille de Dieu. Il était auparavant un enfant de l’enfer, – un fils de Satan – mais il lui est donné un nouveau Père – Dieu Lui-même – et il est devenu un héritier du Ciel, et il est de l’héritage des saints.

La Double Nature du Péché et Son Remède

La prière de David montre qu’il savait qu’il y avait une œuvre de grâce nécessaire plus profonde que celle accomplie lors du pardon des péchés. Il se retrouve intérieurement une fois de plus dans la condition dépravée, semblable à celle de celui qui n’a jamais été purifié par le Sang qui sanctifie. Tous les hommes, sauf Christ, sont nés avec une nature encline au mal ; car tous, excepté Christ, ont été de la descendance de leur père Adam. Christ possédait la nature de sainteté parce qu’Il était le Fils de Dieu. Christ naquit de Marie comme étant "cette chose sainte", et il est aussi affirmé qu’Il était le "saint enfant Jésus", le " Saint de Dieu" et "sans péché". Il est aussi écrit qu’Il "ne connut pas le péché" et qu’Il ne "commit point de péché". Ainsi Il était différent de tous ceux qui étaient nés dans ce monde. Tous les autres naquirent dans le péché, avec le péché dans leur nature ; et le Sang qui purifie doit être appliqué.

Dans l’hébreu original, il y a deux mots qui expriment différents genres de lavages, et ils étaient toujours utilisés avec le plus grand soin. L’un indique ce genre de lavage qui pénètre la substance de la chose qui est lavée, et la nettoie entièrement. L’autre exprime ce genre de lavage qui nettoie seulement la surface de la substance. Par une image solide et belle, David se servit du premier mot dans ce Psaume, pour montrer qu’un nettoyage parfait était possible – extérieurement et intérieurement – par le Sang expiatoire. Le même mot est utilisé par Jérémie lorsqu’il dit: "Purifie ton cœur du mal, … afin que tu sois sauvée" (Jérémie 4 : 14).

Chaque chose dans le Tabernacle et toute la congrégation d’Israël étaient purifiées lorsque le sang d’un sacrifice était aspergé par le sacrificateur officiant, qui utilisait l’hysope à cet effet. Le cri de cœur de David : "Purifie-moi avec l’hysope", se réfère clairement à la purification faite au moyen du Sang de l’Expiation. Il voulut une œuvre approfondie, une œuvre complète, et voulut faire tout ce qui était nécessaire pour que cela pût être accompli dans sa vie.

Comme preuve que David alla plus loin dans le plan du salut qu’un simple pardon de péchés commis, nous avons ce cri : "Crée en moi un cœur pur". Il utilisa ici le même mot qui fut employé dans le récit de la création de l’univers, ce qui signifiait faire quelque chose à partir du néant. David ne demandait pas qu’il y eût un simple renforcement de ses pouvoirs existants, un soutien dans ses faiblesses naturelles, ou une rectification, ou une amélioration de ses habitudes morales, par la puissance et le pouvoir de Dieu. Il demandait une nouvelle création.

Par nature nous sommes tous dépravés et corrompus, étant morts dans les offenses et les péchés. Ce qui est mort ne revient plus à la vie, sauf par la force d’une certaine puissance qui ne se trouve pas en lui. Ce qui a connu la corruption ne devient pas sain, sauf s’il est remplacé par une nouvelle substance. Le vieil homme ne se transforme pas en homme nouveau. Le vieil homme doit être "ôté". Le vieil homme ne peut pas être la base d’une vie nouvelle. C’est vraiment un obstacle à une vie nouvelle. L’homme nouveau qui est "créé en Christ-Jésus", doit être plutôt revêtu, si nous devons être comme Jésus.

La Bible, dans d’autres passages, révèle la double nature de notre péché, et la double guérison qui a été pourvue. Les mauvaises pratiques – nos transgressions – sont pardonnées ; mais le principe de l’iniquité – la nature charnelle, innée – est purifié. Généralement les mauvaises pratiques – ou transgressions – sont exprimées au pluriel, alors que le principe de l’iniquité – la nature charnelle et innée – est exprimé au singulier. "Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner (première guérison), et pour nous purifier de toute iniquité (seconde guérison)" (1 Jean 1 : 9). "Si nous disons que nous n’avons pas péché" – que nous n’avons pas besoin de la première guérison – nous faisons non seulement de Dieu un menteur, mais nous nous faisons de faux témoins, car le péché inné est évident en soi (1 Jean 1 : 10 ; Galates 3 : 22).

Cette double extinction du péché peut être facilement trouvée dans d’autres passages aussi. Toute conduite pécheresse extérieure doit être pardonnée (Esaïe 55 : 7 ; Marc 11 : 25 ; Ephésiens 4 : 32), éloignée (Psaume 103 : 12), effacée (Esaïe 44 : 22), jetée derrière Dieu (Esaïe 38 : 17), et Dieu ne s’en souvient plus (Hébreux 8 : 12). Mais la seconde œuvre de grâce produit une grande série de résultats différents, car par elle, la condition intérieure est détruite (Romains 6 : 6), morte (Romains 6 : 11), purifiée (Ezéchiel 37 : 23 ; Ephésiens 5 : 26, 27), et purifiée (Actes 15 : 9) ; et ceux pour qui ceci est fait sont un (Jean 17 : 17, 21, 23 ; Hébreux 2 : 11 ; Actes 2 : 1), et ont le cœur pur (Psaume 24 : 4 ; Matthieu 5 : 8).

La Perfection et la Progression Dans la Piété

La justice est la conformité avec Christ – la ressemblance à Christ. Lorsque nous croissons en grâce et dans la connaissance du Seigneur Jésus-Christ, en marchant dans la lumière comme elle s’est manifestée à nous, nous croissons dans la justice. Cette croissance commence à partir de notre adoption dans la famille de Dieu, mais elle ne se limite pas à la sanctification, parce que nous recevons constamment plus de lumière, et le tout à travers nos expériences chrétiennes. Mais cette croissance n’est pas l’expérience de la sanctification, car cette glorieuse expérience est reçue instantanément. La vraie idée que nous pouvons avoir de la purification est qu’elle est une œuvre complète, car lorsqu’une chose est purifiée, elle est pure. D’autre part, nous sommes considérés comme parfaits si nous faisons ce qui est exigé de nous. Un enfant de la première classe à l’école est excellent s’il fait ce qui est exigé des élèves de première classe, quand même il n’est pas aussi excellent qu’un enfant de la huitième classe. L’expérience de l’entière sanctification, qui est la purification du péché inné, est une œuvre de grâce définitive et instantanée. Mais l’œuvre de la perfection est progressive.

L’œuvre instantanée de l’entière sanctification est montrée par les termes utilisés pour la décrire dans la Bible. Ceci est appelé un acte de circoncision spirituelle (Deutéronome 30 : 6 ; Colossiens 2 : 11). C’est une œuvre de purification, destinée à éliminer ce qui est charnel de nature (Psaume 51 : 9 ; Jean 15 : 2). C’est un acte de purification, étant un nettoyage divin de la souillure de la vie (Psaume 51 : 9 ; Ezéchiel 36 : 26 ; 1 Jean 1 : 9). Cela est comparé à une œuvre de création qui introduit quelque chose de nouveau (Psaume 51 : 12 ; Ephésiens 4 : 24 ; Psaume 33 : 9). Et on l’appelle destruction (Romains 1 : 6).

Ici aussi nous avons une preuve absolue des langues originales de la Bible. Une éminente autorité qui traite du grec du Nouveau Testament, écrit : "Lorsque nous venons à considérer l’œuvre purificatrice dans l’âme du croyant … aussi bien à la nouvelle naissance qu’à l’entière sanctification, nous trouvons que le temps aoriste, (temps particulier aux grecs qui n’a pas une correspondance exacte en anglais) est presque uniformément utilisé. Ce temps, selon les meilleurs grammairiens du Nouveau Testament, n’indique jamais un acte continuel, habituel ou répété, mais un acte qui est momentané, et qui est fait une fois pour toutes". Tout dictionnaire magistral affirmera que le temps aoriste désigne un temps du verbe grec qui montre que l’action eut lieu dans un passé indéterminé, sans implication de continuité. Des 88 références dans le Nouveau Testament concernant l’œuvre de sanctification, où les mots "purifier", "sanctifier" et "laver" sont utilisés, 44 sont au temps aoriste qui, comme nous l’avons vu, montre que c’était une action passée instantanée. Les autres références sont au temps qui montrerait soit une action instantanée, soit une action continue, mais il n’y a pas de référence au temps qui montre une action continue seulement.

Il n’y a pas de moment déclaré dans les Ecritures qui doit s’écouler après la conversion avant que l’âme puisse être entièrement sanctifiée. La seule condition préalable à la recherche de la sainteté est l’état justifié et régénéré. Même les "enfants en Christ" sont exhortés à tendre "à ce qui est parfait" ; et tous les croyants sont concernés par le commandement : "Soyez saints car je suis saint". La déclaration, "Ce que Dieu veut, c’est votre sanctification", s’adresse à chaque croyant, puisqu’elle est originellement adressée aux convertis qui n’étaient que des enfants en Christ. C’est le devoir et le privilège de tous les croyants d’avoir le cœur purifié du péché inné, et d’être remplis de l’amour qui suit immédiatement leur justification.

Les Fruits de la Justice

La régénération est complète en ce que tout péché est pardonné et que le repentant trouve la paix avec Dieu. Tous ceux qui sont nés de Dieu ont le pouvoir de vivre une vie sans péché, de marcher dans la lumière de Dieu, de surmonter toutes les tentations du monde, de la chair, et du diable, et de vivre une vie humble et pure.

L’entière sanctification est un amour parfait opéré dans le cœur. Elle purifie le cœur et la nature du péché inné et originel, et remplit le cœur de la sainteté de Dieu. L’image perdue de Dieu est restaurée. Cette glorieuse expérience est opérée instantanément par la foi, et elle est précédée par une entière consécration – une condition que seul un enfant de Dieu peut remplir. Elle apporte un état d’entière dévotion à Dieu, et enlève le conflit intérieur de la nature charnelle contre l’Esprit de Dieu, puisqu’il ôte l’esprit charnel qui est "inimitié contre Dieu". L’Esprit charnel "ne se soumet pas à la loi de Dieu, et il ne le peut même pas". L’entière sanctification amène le cœur entier à être en harmonie avec Dieu et avec Sa volonté.

Questions
QUESTIONS
  1. Pourquoi David sentit-il qu’il avait péché contre Dieu Seul?
  2. Quelle attitude David adopta-t-il lorsque son péché lui fut montré?
  3. David fut-il pardonné et restauré dans la faveur de Dieu?
  4. Enumérez les différents noms qui sont donnés à l’expérience initiale de la grâce dans la Bible.
  5. Qu’est-ce qui s’accomplit dans le cœur d’une personne lorsqu’elle est sanctifiée?
  6. Décrivez les différentes voies par lesquelles le Seigneur travaille avec nous pour nous parfaire et pour nous préparer à Le rencontrer.
  7. Qu’est-ce que la perfection chrétienne?
  8. Quelles preuves avons-nous, qui nous indiquent que la sanctification est une expérience instantanée?
  9. Apprenez et citez quelques-uns des remarquables versets de ce Psaume.
  10. Quelle était l’attitude finale de David, telle qu’elle est montrée dans les derniers versets?