Matthieu 26 : 1 - 5, 14 - 16 ; Luc 22 : 3 - 6 ; Jean 12 : 4 - 6 ; 17 : 12

Lesson 249 - Senior

Memory Verse
"Malheur au monde à cause des scandales! Car il est nécessaire qu’il arrive des scandales ; mais malheur à l’homme par qui le scandale arrive!" (Matthieu 18 : 7).
Cross References

I L’Homme, Judas Iscariot

1. Il fut choisi et ordonné comme l’un des douze disciples et aussi comme un Apôtre : Matthieu 10 : 1 - 5 ; 26 : 14 ; Marc 3 : 13 - 19 ; Luc 6 : 13 - 16 ; Actes 1 : 17, 25.

2. Il manqua de persévérer dans la voie de la justice, devint cupide et aussi voleur, ayant sans doute des aspirations charnelles concernant le prétendu royaume terrestre de Christ : Jean 12 : 4 - 6.

II La Trahison et les Evénements qui Précèdent Immédiatement

1. Les prophètes de l’Ancien Testament avaient parlé de l’Acte de Judas : Psaume 109 : 9 cf. Actes 1 : 16,17 ; Zacharie 11 : 12,13.

2. Jésus avait prophétiquement parlé de l’acte de Judas, l’appelant démon et fils de perdition : Jean 6 : 70, 71 ; 13 : 18 - 30 ; 17 : 12.

3. Néanmoins Judas avait agi en faisant un choix délibéré : Matthieu 26 : 1 - 5, 14 - 16 ; Marc 14 : 10, 11 ; Luc 22 : 3, 6 ; Zacharie 11 : 12, 13.

4. Judas fit son choix, et puis Satan entra en lui : Luc 22 : 3 ; cf. Jean 13 : 2, 27.

5. En tant que fils de perdition – n’étant plus fils de Dieu – il pouvait facilement trahir le Fils de Dieu par un baiser : Marc 14 : 43 - 45 ; Luc 22 : 47, 48 ; Jean 18 : 2 - 5.

III La Fin Tragique de Judas

1. Se rendant compte pour la première fois du plein effet de son action, Judas fut rempli de remords, mais dépourvu de repentance envers Dieu : Matthieu 27:3 – 5 ; Zacharie 11 : 12, 13 ; Psaume 94 : 20 - 23.

2. Il se suicida : Matthieu 27 : 5 ; Actes 1 : 18,19.

3. L’argent qu’il avait reçu et avait ensuite retourné fut utilisé pour acheter un champ de potier : Matthieu 27 : 6 - 10 ; Zacharie 11 : 13.

Notes
COMMENTAIRE

Un Exemple d’Infamie

De tous les exemples d’infamie et de trahison qui nous sont conservés dans l’histoire sainte et laïque, il n’y a aucun qui puisse être, peut-être pire que celui de Judas-Iscariot. Son nom sera dans cette classification pour toujours, car il conçut et perpétra la trahison la plus cruelle que ce monde ait jamais vue. Il contribua et rendit possible l’arrestation du Fils de Dieu par les ennemis de la justice grâce à un baiser non sincère et hypocrite qui est maintenant connu sous le nom de "Baiser de Judas". Même dans les rangs des infidèles, on se réfère à son action avec mépris et dédain. Et ce qui rend ceci tellement mauvais, c’est que cet homme fut une fois un disciple et un Apôtre choisi du Fils de Dieu!

On ne nous a pas dit dans l’Ecriture le moment et le lieu précis où Judas fit la prière de repentance et obtint le pardon des péchés, que tout homme, toute femme et tout enfant doivent recevoir s’ils veulent entrer au Ciel. Mais nous avons toute raison de croire qu’il fut un participant de ce salut, car Dieu n’envoie pas des incrédules proclamer Son histoire de salut.

Judas fut l’un de ceux qui furent cherchés et ensuite envoyés deux à deux pour prêcher l’Evangile du Royaume (Marc 6 : 7). Il fut l’un de ceux que Christ avait chargé d’une commission, et à qui Il avait donné le pouvoir d’exécuter cette commission. En outre, ces disciples avaient à "guérir les malades, ressusciter les morts, purifier les lépreux, chasser les démons" ; et Christ les rassura qu’ils seraient soutenus durant leur travail pour Lui. Judas fut l’un de ceux que Jésus envoya comme "des brebis au milieu des loups".

Judas fut l’un de ceux dont Jésus avait dit que l’Esprit du Père parlerait en eux. Il fut l’un de ceux dont Christ avait dit qu’ils seraient haïs de tous les hommes à cause de Lui, et qu’ils auraient aussi le privilège d’endurer la persécution pour la cause de Christ. Il fut l’un de ceux dont Christ parlait lorsqu’Il disait qu’en tant que disciples et serviteurs, ils n’allaient pas être plus grands que Lui, leur Maître et Seigneur.

Judas fut l’un de ceux que Christ avait mis en contraste avec les serviteurs du royaume de Béelzébul. Il fut l’un de ceux qui avaient choisi de prendre leur croix et de suivre Jésus. Il comptait aussi parmi ceux qui retournèrent à Jésus pour Lui dire "tout ce qu’ils avaient fait et tout ce qu’ils avaient enseigné" et allèrent ensuite avec Lui dans un lieu désert afin qu’ils pussent se reposer après leur mission pour Lui (Lire Matthieu 10 : 1 - 42, et Marc 6 : 7 - 13, 30 - 32).

Quelqu’un peut-il à juste titre dire qu’un tel homme fut un pécheur tout le temps que Jésus l’avait utilisé dans l’œuvre de la justice? Quelqu’un peut-il dire que Dieu, qui connaît la fin depuis le commencement, n’avait tenu aucun compte de Son commandement spécifique qu’aucun novice, qu’aucun injuste ou qu’aucun impie ne serait utilisé dans l’œuvre du ministère, en utilisant Judas, pour le grand appel et la grande responsabilité qu’il avait eu au cours de la première partie du ministère de Christ? Quelqu’un peut-il dire que lui, qui fut appelé, puis ordonné disciple et nommé apôtre, et qui avait reçu une partie du Ministère des disciples – partie qui fut si importante et si nécessaire que les onze Apôtres sentirent qu’il ne s’écoulerait pas de temps avant qu’un successeur ne fût désigné – n’avait jamais senti le pardon pour les péchés ou la montée de cette nouvelle vie spirituelle qui est donnée lorsqu’on devient une nouvelle créature en Christ Jésus?

Il est vrai que Jésus a parlé de Judas comme étant un démon à une occasion, et un fils de perdition à une autre. Il est vrai que les prophètes de l’Ancien Testament avaient prédit ses actes et ses décisions infâmes. Ces prophètes de l’Ancien Testament écrivirent aussi au sujet des souffrances de Christ. Ils parlèrent de la mort et de la résurrection de Christ. Ils parlèrent du prix qu’Il a payé pour nous. Mais il nous est dit que Christ avait le pouvoir de donner Sa vie et de la reprendre. Il avait le pouvoir d’appeler une compagnie d’anges pour affronter et renverser l’armée qui fut dirigée contre Lui, et Il pouvait même descendre de la croix et refuser de mourir pour les péchés de l’humanité.

Mais Jésus alla volontairement à la croix. Il mourut volontairement, quand bien même il Lui fut nécessaire de demander la force pour endurer cette heure triste et pénible. Il avait accompli les prophéties des hommes pieux d’autrefois. Les prophéties n’étaient pas des commandements auxquels Jésus était obligé d’obéir ; elles étaient de l’histoire écrite d’avance grâce à l’inspiration du Saint-Esprit qui connaît la pensée de Dieu, qui est égal à Dieu, et qui a la sagesse Infinie et la prescience de Dieu.

Judas aussi accomplit la prophétie. Il fut appelé "fils de perdition" parce qu’il avait choisi le chemin qui le conduisit dans la situation qui avait mérité ce nom. Il ne fut pas appelé fils de perdition parce qu’il fut ainsi prédestiné et n’avait aucun choix. Il fut appelé un "démon" parce qu’il avait choisi le chemin qui conduisait à l’obscurité et à la séparation d’avec Dieu et le Ciel. Il avait délibérément choisi le salaire de l’iniquité, au lieu des récompenses de Dieu. Et lorsqu’il vit le montant total de ce salaire qu’il devait inévitablement payer, il avait agi comme un lâche, ce qu’il était, plongeant la tête la première dans le feu, punition éternelle de laquelle il n’y a pas d’évasion. La prophétie concernant Judas n’aurait jamais été écrite telle qu’elle s’est appliquée à lui s’il avait choisi la voie élevée au lieu du chemin qui mène à la damnation éternelle.

Que tous ceux qui se réfugient derrière une telle forteresse peu sûre telle que la doctrine de la soi-disant sécurité éternelle du croyant tiennent compte de l’exemple et du sort de cet homme que Dieu avait appelé, ordonné, doté de pouvoir, chargé de commission et envoyé œuvrer pour la cause du Royaume. Que tous ceux qui se sentent en sécurité sous le Sang qu’ils disent être versé pour leurs péchés passés, présents, et futurs, se rendent compte que le Sang ne leur profitera jamais à moins qu’il ne soit appliqué ; et il ne peut être appliqué que là où il y a la repentance, et le pardon cherché par la foi et un abandon sincère du péché. Que tous ceux qui disent qu’ils seront sanctifiés jusqu’à la mort relisent les paroles de l’Apôtre Pierre qui dit que Judas "était compté parmi nous, et avait part au même ministère" duquel il "est tombé" par la transgression. Pierre parla aussi de la mort par suicide de Judas et de la référence faite à son sujet par le Psalmiste, qui est donnée pour nous rappeler la malédiction qui est placée même sur ses possessions terrestres.

Quelqu’un peut-il être sauvé s’il refuse le moyen de la grâce et désobéit aux commandements de Dieu en trahissant et en livrant aux méchants Celui qu’il nous est ordonné d’aimer de tout notre cœur, de toute notre pensée, de toute notre âme et de tout notre esprit? Quelqu’un qui a foulé au pied le "sang innocent", et par conséquent a coupé son espérance d’être purifiée de ses péchés par ce Sang, peut-il être sauvé? Quelqu’un qui a commis le péché de meurtre, précipitant son âme dans l’éternité et, ce faisant, a rejeté sa dernière occasion de se repentir, peut-il jamais être sauvé? La réponse à toutes ces questions est évidemment 'Non'! Lecteur, pensez soigneusement à ces choses!

Les Etapes de la Chute de Judas

On pourrait se demander : Quel profit tirons-nous de l’étude de la vie de cet homme qui a été abandonné de Dieu? D’abord, nous pouvons voir les étapes qui ont conduit finalement à sa fin tragique, et nous devons prendre garde, de peur que nous ne prenions la même voie.

La fin du péché est toujours odieuse. Même dans cette vie-ci, il n’y a rien à désirer du résultat final d’une vie de débauche et de plaisir. Les maux physiques tourmentent les derniers jours de la majorité des rebelles entêtés. La paix de l’esprit est toujours absente. Souvent la conscience n’accorde pas de repos à l’intéressé. Et les tortures d’un corps ruiné dans le péché demeurent lorsque les plaisirs et les intoxications des jours de libertinage ne sont plus.

Mais au commencement d’une vie de péché, le contraire est vrai. Souvent, le péché séduit la pensée et le cœur des jeunes. Il peut y avoir au début un certain frisson, une certaine joie, un certain degré d’excitation dans une excursion sur le sentier du mal. Mais une telle excursion laisse un goût amer de remords, et bien des fois souille tellement l’esprit et le corps de celui qui s’entête que rien n’enlèvera jamais complètement cette cicatrice, ni ne le restaurera dans un état parfait ou original d’innocence qu’il avait une fois possédé.

Qu’on ne pense même pas un seul instant que ces frissons de péché puissent égaler les innombrables bénéfices du moment présent et les récompenses éternelles que nous recevons grâce à une vie de justice. Certains sont fatigués de la vie pieuse, de l’influence juste de ceux qui les entourent, et de la voie prescrite des fidèles, et ont cherché quelque chose de nouveau et de différent. Les débuts du péché sont attrayants pour eux puisqu’ils ont détourné leur cœur de la Source du vrai bonheur et de la vraie joie.

Saül, le premier roi d’Israël, avait commencé une descente qui avait fini aussi par un suicide en permettant à l’orgueil d’entrer dans son cœur jadis humble. Lui aussi avait ressenti le frisson de l’appel et de l’influence de l’Esprit ; un nouveau cœur lui avait été donné et il avait été choisi par Dieu. Mais Saül acheva sa vie terrestre dans une tragédie qui est en seconde position par rapport à celle de Judas. Le chemin qui conduisit au rejet final de ce roi par Dieu débuta par le fait qu’il a gardé, par mépris, l’orgueil dans son cœur.

Ceci étant, les débuts de la chute de Judas étaient ce que le monde appellerait petits et non remarquables. Il avait commencé à convoiter. Il était mis à une place de responsabilité dans le petit groupe qui suivait Jésus. Mais il a été dit de lui qu’il devint voleur. Ce qu’il avait volé ou de qui il l’avait volé ne nous a pas été dit. Mais le fait qu’il était un voleur est clairement exposé.

Ce n’était alors pour lui qu’un petit pas pour négocier et faire alliance avec les ennemis de Christ. Jésus l’avait averti en le signalant même comme étant celui qui Le trahirait. Mais Judas ne se repentit pas, ni ne se détourna pas de la voie qui conduisit à perpétrer le plus horrible crime du monde.

Même les paroles des prophètes lui indiquèrent la fin tragique qui l’attendait s’il commettait l’acte qu’il projetait. Il a dû avoir connaissance de ces paroles, car elles furent connues de Pierre qui, en toute probabilité, est bien moins instruit que Judas. Ce ne fut pas après la réception du Consolateur – notre guide pour nous conduire dans toute la vérité et nous révéler les choses de Dieu – que Pierre avait cité les paroles qui avaient été dites de façon prophétique au sujet de Judas. Ce fut au moins dix jours avant cet événement du jour de Pentecôte (Psaumes 69 : 26 ; 94 : 20 - 23 ; 109 : 8 cf. Actes 1 : 15 - 26). Par conséquent, si Judas ne le savait pas, il aurait pu le savoir. Il fut justement condamné. Que ceux qui croient en la fausse doctrine de la sécurité éternelle aussi notent la condamnation de Judas dans ces passages prophétiques. Il fut retranché par sa propre iniquité! Et c’est un fait indéniable qu’il avait été à un moment donné un homme juste!

Après le rejet des avertissements qui lui avaient été donnés, Judas laissa Satan mettre dans son cœur la détermination de commettre l’acte en question (Jean 13 : 2). Judas avait déjà négocié avec les ennemis de Christ. Il était rendu vulnérable aux attaques de Satan en discutant avec lui à travers ses serviteurs.

L’étape suivante était la possession par le diable, car il est écrit : "Dès que le morceau fut donné, Satan entra dans Judas". C’est ici, en réalité, qu’il était devenu fils de perdition. Il était à présent un serviteur à part entière de Satan – un antéchrist de ces premiers âges – un apostat complet et celui qui a rejeté Christ. L’espérance qui avait une fois brûlé vivement dans son cœur avait disparu. Lui qui avait une fois été un instrument dans le travail du Royaume de Christ fut maintenant un esclave misérable et opiniâtre dans le royaume de Satan. Puisque nous savons qu’il y a de la joie dans le Ciel pour toute âme qui est arrachée au royaume des ténèbres et amenée dans le Royaume de Lumière, nous pouvons supposer qu’il y eut une joie et une réjouissance diaboliques dans les royaumes des damnés lorsque Satan avait accompli cet acte infâme.

Les étapes suivantes sont évidentes. Judas avait commis l’acte sans tremblement ni quelque considération que ce soit pour ses conséquences terribles. Il n’a pas ressenti de scrupule dans la conscience lorsqu’il baisa le pur et immaculé Christ de Gloire, donnant par là le signal aux armées qui attendaient que c’est ici Celui qu’elles cherchaient. Il n’y eut aucune affection dans ce baiser. Il n’y eut aucun sentiment de gratitude en cela pour tout ce que Christ avait fait pour lui. Il n’y eut que l’esprit de trahison, la fourberie d’un traître, et l’esprit de convoitise qui voulait vendre la plus précieuse Perle du Ciel pour une somme dérisoire. (Judas reçut l’équivalent de 19,50 dollars US, ce qui équivaut à 4200 francs CFA).

Le prix que Judas fixa en négociant avec les ennemis de Christ était celui qui était requis sous la Loi, comme le maximum que pouvait exiger un propriétaire d’esclaves lorsque l’un de ses meilleurs esclaves était tué dans un accident. Judas était maintenant parvenu au point de rejet par Dieu et Son Christ qu’il pouvait vendre son Maître à un prix qui ne dépasse pas celui d’un esclave!

Judas avait du remords mais pas de repentance. Il rapporta "le prix du sang" et dit qu’il avait trahi "le sang innocent". Il n’y avait personne d’autre que Christ qui pût prétendre à ce titre. Il y eut peut-être des gens tués qui étaient innocents de certains crimes ou de certains péchés manifestes, et de ceux-là, il pouvait être dit que le sang innocent a été versé. Mais lorsqu’il est dit : "J’ai péché en livrant le sang innocent", Il ne s’agit de personne d’autre que Christ, car Lui seul est L’Innocent. Judas avoua son péché après avoir trahi le divin Fils de Dieu, mais il faut plus qu’une simple admission de la culpabilité pour avoir le salut.

Les brigands sur leur croix étaient tous deux coupables, mais un seul fut sauvé ; et il était sauvé simplement parce qu’il avait invoqué le Seigneur pour obtenir la miséricorde et l’aide en admettant sa culpabilité. Il n’y a pas de salut pour celui qui ne se repent pas. Judas ne s’est jamais repenti envers Dieu. Il tenta d’obtenir une certaine réconciliation en se repentant envers les principaux sacrificateurs et les anciens, mais sa prière n’était jamais une fois dirigée vers Dieu – le Seul qui peut pardonner les péchés.

Abandonné de Dieu, rejeté et ridiculisé par ceux avec qui il complotait, l’ancien disciple et Apôtre se suicida. Nous avons vu qu’il scella pour toujours sa propre ruine en mettant fin à sa vie par un acte de péché, parce que dans ce même acte de péché il quitta ce monde pour se tenir devant son Dieu, condamné pour tous ses péchés, sans repentance ni espérance.

Questions
QUESTIONS
  1. A quelles responsabilités Judas avait-il été appelé? Et quel était le titre de cette fonction?
  2. Quelle fut sa responsabilité parmi les tous premiers douze Apôtres?
  3. Quelle fut la première déviation de la justice que nous voyons dans la vie de Judas?
  4. En quoi Judas viola-t-il le commandement selon lequel les justes ne devaient pas chercher la communion ou la compagnie non nécessaire de l’impie?
  5. Quel avertissement Judas reçut-il et qui aurait pu le sauver de son sort?
  6. Judas fut-il obligé de faire ce qu’il fit par une prédiction divine sur laquelle il n’avait aucun contrôle?
  7. Quand peut-on dire qu’il devint entièrement "fils de perdition"?
  8. Comment cette réfute-t-elle la fausse doctrine de la sécurité éternelle du croyant?
  9. Expliquez la différence entre les activités de Satan concernant Judas, comme c’est rapporté dans Jean 13 : 2, 27.
  10. Quelle est la différence entre le remords et la repentance? Lequel Judas eut-t-il? Et Judas fut-il sauvé finalement?