Genèse 14:18 - 20; 28:20 - 22; Lévitique 27:30 - 32; Deutéronome 16:16, 17; Malachie 3:8 - 10; Matthieu 23:23; Luc 18:12; 21:1 - 4; 1 Corinthiens 16:2

Lesson 264 - Senior

Memory Verse
VERSET DE MEMOIRE:"Que chacun de vous, le premier jour de la semaine, mette à part chez lui ce qu’il pourra, selon sa prospérité" (1 Corinthiens 16:2).
Cross References

I Les Premières Dîmes

1. Les dîmes premièrement enregistrées dans la Bible, furent payées par Abram à Melchisédek:Genèse 14:18 - 20.

2. Jacob fit le vœu de donner la dîme de ses revenus au Seigneur:Genèse 28:20 - 22.

II Les Dîmes des Israélites

1. Toutes les dîmes étaient considérées comme très sacrées, et étaient données aux Lévites et aux Sacrificateurs:Lévitique 27:30 - 32; Nombres 18:21, 24, 26 - 32.

2. Les dîmes étaient apportées au lieu choisi par Dieu:Deutéronome 12:5, 6; 16:16, 17.

3. La bénédiction de Dieu suit toujours le payement des dîmes:2 Chroniques 31:4 - 10; Néhémie 12:43, 44; Proverbes 3:9, 10; Malachie 3:10.

4. Les Enfants d’Israël furent chargés d’un péché qui est le vol parce qu’ils n’apportaient plus leurs dîmes à Dieu:Malachie 3:8, 9.

III Les Commandements du Nouveau Testament

1. Jésus ordonna que les dîmes fussent payées:Matthieu 23:23; Luc 18:12.

2. La petite pièce de la veuve a, selon Dieu, plus de valeur que l’abondance des hommes riches:Luc 21:1 - 4; Marc 12:41 - 44.

3. L’Apôtre, à travers l’Esprit de Dieu, donna des directives en ce qui concerne la manière de financer de façon convenable l’Eglise:1 Corinthiens 16:2; Hébreux 7:2 - 8.

Notes
COMMENTAIRE

La Responsabilité Egale

La plus grande chose qui puisse arriver à un homme mortel est la réception, dans son cœur et dans sa vie, du salut, Jésus-Christ le don gratuit de Dieu. Pas un seul sou de valeur terrestre ne pouvait servir à acheter ce salut – il ne s’obtient que par la foi en Dieu et dans la consécration du cœur et de la vie de l’homme au Seigneur. Nous voyons que dans le but de retenir ce don très précieux, le bénéficiaire doit cependant, d’une façon ou d’une autre, participer activement à l’avancement du Royaume de Dieu. Tout homme sauvé est envoyé par Dieu pour "aller… enseigner toutes les nations" (Matthieu 28:19). L’accomplissement de cette mission exige de l’argent et une vie consacrée. Pour plusieurs raisons évidentes, il est impossible à tous de devenir missionnaires et de voyager dans des pays éloignés pour proclamer la bonne nouvelle du salut; cependant, Dieu a prescrit un plan en vue de l’expansion de l’Evangile dans le monde entier, et Il a proportionné les dépenses nécessaires par rapport à chacun de Ses enfants. Le plan de Dieu en vue de financer Son Eglise est appelé le payement de la dîme, parce que chaque vrai Chrétien donne un dixième de son revenu pour la cause de Dieu, afin que l’Evangile puisse être répandu dans le monde entier.

Le Plan n’Est pas Nouveau

Le payement des dîmes a été observé par les enfants de Dieu depuis une vieille date; le plan n’est donc pas nouveau, ni réservé à une dispensation quelconque. La première référence biblique en ce qui concerne le plan se trouve dans Genèse 14:18 - 20, où nous lisons qu’Abram paya les dîmes à Melchisédek, roi de Salem et Sacrificateur du Dieu Très-Haut. Abram rentrait chez lui avec le butin de guerre après une grande victoire remportée sur les cinq rois qui avaient emporté Lot de Sodome, en captivité. Melchisédek rencontra Abram dans la Vallée de Schavé, avec la bénédiction de Dieu, sur quoi Abram "lui donna la dîme de tout". Bien que cet incident fût le premier cas mentionné concernant le payement de la dîme, il est bien apparent qu’Abram ait agi selon un principe qui lui avait été enseigné auparavant, car il savait exactement ce qu’il fallait faire. L’Auteur du salut éternel inspira l’acte.

Avant la Loi

Certains soutiennent que la Loi portant sur le payement de la dîme était une ordonnance particulière à la Loi de Moïse. Ils prétendent que les Chrétiens vivent sous la Dispensation de la Grâce, et par conséquent, la loi portant sur le payement de la dîme n’est plus en vigueur, et qu’ils n’en sont pas concernés. Peut-être, l’Apôtre Paul entendit les premières rumeurs concernant cet argument, car dans sa lettre aux Hébreux, il souligna le fait que les dîmes étaient payées au moins 400 ans avant que la Loi de Moïse ne fût instituée. L’Apôtre écrivit sur la similitude très remarquable entre le sacerdoce de Melchisédek et le sacerdoce de Jésus-Christ. Sans nul doute Melchisédek n’était personne d’autre que la Deuxième Personne de la Trinité, qui a revêtu une forme humaine pendant une courte période de l’histoire de l’Ancien Testament – "qui est sans père, sans mère, sans généalogie, qui n’a ni commencement de jours ni fin de vie, – mais qui est rendu semblable au Fils de Dieu". (Hébreux 7:3).

Abraham était connu comme étant l’ami de Dieu à cause de sa foi en Dieu, et il paya les dîmes à celui qui était "rendu semblable au Fils de Dieu". Chaque vrai Chrétien est rendu participant à l’alliance d’Abraham par la foi en Dieu et par la grâce; par conséquent la même règle qui était en vigueur pour Abraham, l’est pour le Chrétien aujourd’hui. Abraham marcha avec Dieu, et il reçut une bénédiction de Dieu comme il paya les dîmes au vrai représentant de Dieu. Dieu n’a pas changé, et Ses voies non plus. Même sous la Dispensation de la Grâce, l’homme qui cherche les plus abondantes bénédictions de Dieu les trouvera tant qu’il marche sur les traces du fidèle Abraham.

Bien avant la loi, Jacob aussi fit à Dieu un vœu dans lequel il dit:"Je te donnerai la dîme de tout ce que tu me donneras" (Genèse 28:22). Lorsque nous jetons un premier regard sur ce vœu, il pourrait paraître que Jacob essayait de négocier avec Dieu, mais tel ne fut pas le cas. Pendant que Jacob dormait, Dieu lui fit voir en songe la nature des bénédictions qui lui étaient réservées à la condition qu’il fût fidèle. Lorsque Jacob se réveilla, il se fia à la promesse de Dieu, en déclarant que si Dieu accomplissait Sa parole, il (Jacob) assumerait le devoir qu’il savait être juste. Sans nul doute, Jacob avait appris de son grand-père Abraham, la justesse du payement de la dîme. Plus tard, Dieu changea le nom de Jacob en celui d’Israël en déclarant:"Car tu as lutté avec Dieu et avec des hommes, et tu as été vainqueur" (Genèse 32:28). Ainsi Jacob ne pouvait jamais l’emporter sur Dieu s’il n’avait pas accompli son vœu.

Pour la Prospérité d’Israël

La Parole montre alors clairement que la Loi comprenait et mettait en vigueur l’ordonnance qui était déjà établie. Dieu n’a pas exigé la dîme des Enfants d’Israël pour une raison égoïste, non révélée, mais les dîmes étaient prises et utilisées dans l’intérêt des Israélites eux-mêmes. Même en cette période primitive, le sanctuaire de Dieu exigeait des serviteurs et des ministres qui étaient trouvés parmi les descendants d’Aaron et de la tribu des Lévites. Les sacrificateurs et les Lévites donnaient tout leur temps et prêtaient attention au service dans la maison du Seigneur. Ils n’avaient pas d’héritage parmi les Enfants d’Israël; par conséquent, Dieu donnait les dîmes d’Israël à ces ministres du sanctuaire pour leur subsistance.

Il était toujours rappelé aux Enfants d’Israël le fait que Dieu leur avait donné le pays où ils demeuraient. En outre, il leur était rappelé que c’était le Seigneur qui leur donnait les productions des champs, et "de la force pour les acquérir" (Deutéronome 8:18). En réalité, lorsque les Enfants d’Israël payaient leurs dîmes, ils retournaient au Seigneur une petite partie des choses qu’Il leur avait précédemment données. Combien ceci est une réalité pour chaque homme ou chaque femme qui paye ses dîmes au Seigneur.

Des Voleurs!

L’une des plus graves accusations portées contre les Enfants d’Israël était qu’ils volaient Dieu. Les gens semblaient être surpris et étaient arrogants dans leur réponse:"En quoi t’avons-nous trompé?" ("En quoi t’avons-nous volé?" version Anglaise) Sans nul doute, ils conservaient les rites et observaient fidèlement les traditions, pensant que leurs propres œuvres et idées suffiraient, au lieu d’obéir à toute la Parole de Dieu. La réponse à leur question est donnée sans tarder:"Dans les dîmes et les offrandes. Vous êtes frappés par la malédiction, et vous me trompez, la nation tout entière!" (Malachie 3:8, 9). Cette grave accusation montre l’importance que Dieu attache à l’observation de chaque partie de Sa Parole. C’est une chose dangereuse que de jouer avec les commandements de Dieu. Ananias et Saphira perdirent leur vie et leur âme parce qu’ils payèrent seulement une partie du prix de leurs biens et mentirent à ce sujet à Dieu et aux hommes. "Ne vous y trompez pas:on ne se moque pas de Dieu. Ce qu’un homme aura semé, il le moissonnera aussi" (Galates 6:7).

La Doctrine selon le Nouveau Testament

Lorsque le Seigneur trouve quelque chose de bon dans la vie de quelqu’un, Il en fait l’éloge; mais s’Il trouve quelque chose de mauvais dans une vie, Il est tout aussi prompt à condamner ce mal. Il en est de même de Ses observations en ce qui concerne le payement des dîmes par les Pharisiens. Ils étaient si stricts en ce qui concerne cette loi particulière, qu’ils payaient même la dîme des herbes communes appelées la menthe, l’aneth, et le cumin. Jésus dit qu’ils ne devaient pas négliger cela; en d’autres termes, Il confirma la loi relative au payement de la dîme et la fit ressortir depuis l’Ancienne Dispensation jusqu’à la Nouvelle Dispensation – jusque dans Son Eglise. Jésus a recommandé ce qui est bon dans le payement de la dîme, mais a condamné les Pharisiens pour avoir omis ce qui est plus important dans la Loi – la justice, la miséricorde et la fidélité. Nul ne peut entrer au Ciel à cause du seul payement de la dîme, mais il ne peut non plus entrer dans la Cité de Dieu, s’il retient délibérément et volontairement une partie des biens qui appartiennent à Dieu.

Comme il nous a été dit, l’Apôtre Paul a, dans sa lettre aux Hébreux, confirmé le payement des dîmes. Plus tard, il parla à l’église des Corinthiens en ce qui concerne les offrandes volontaires. Ce corps des Gentils parmi les croyants était très préoccupé par les besoins dans lesquels étaient les frères indigents de Jérusalem. Paul leur dit comment ils devaient régler leur préoccupation:"Que chacun de vous, le premier jour de la semaine, mette à part chez lui ce qu’il pourra, selon sa prospérité, afin qu’on n’attende pas mon arrivée pour recueillir les dons" (1 Corinthiens 16:2). Cette contribution est comprise comme étant une offrande en dehors et en plus des dîmes de l’église des Corinthiens, parce que Paul a appelé cette offrande, leurs "libéralités" ou leurs dons.

Le donneur d’une offrande volontaire est souvent libre de déterminer la nature de son don. Dans le cas ci-dessus les saints de Corinthe indiquèrent qu’ils voulaient aider leurs frères. Peut-être dans d’autres cas, le Seigneur met dans le cœur de quelqu’un la charge d’envoyer une aide financière à un missionnaire, ou d’aider financièrement à la construction d’une église ou de donner de l’argent pour la publication des littératures évangéliques. L’offrande volontaire est en réalité un don.

Les dîmes ne sont pas des dons faits à Dieu; elles sont nos dus à Dieu – elles appartiennent à Dieu. Dieu donna aux Enfants d’Israël tous les biens qu’ils possédaient, et, en retour, Il demandait leurs dîmes. De même, Dieu a donné au Chrétien "toute grâce excellente et tout don parfait"; par conséquent un dixième n’est pas un montant déraisonnable à Lui retourner. Le payement de la dîme est basé sur n’importe quel revenu soit des affaires ou des salaires. En ce qui concerne les affaires, le calcul est basé sur le bénéfice net. En matière de salaire la dîme est calculée sur le salaire brut de base, avant toutes déductions des impôts et taxes, des charges sociales, des dépenses de subsistance, etc.

La Générosité de Dieu

Aucun Chrétien ne doit se sentir trop pauvre pour payer la dîme. En réalité, beaucoup de gens qui ont souffert financièrement pendant toute leur vie ont été matériellement bénis, lorsqu’ils ont commencé à donner au Seigneur la dixième partie qui Lui appartient. C’est la promesse que Dieu a faite:"Apportez à la maison du trésor toutes les dîmes, afin qu’il y ait de la nourriture dans ma maison; mettez-moi de la sorte à l’épreuve, dit l’Eternel des armées. Et vous verrez si je n’ouvre pas pour vous les écluses des cieux, si je ne répands pas sur vous la bénédiction en abondance" (Malachie 3:10). De plus:"Honore l’Eternel avec tes biens, et avec les prémices de tout ton revenu:alors tes greniers seront remplis d’abondance, et tes cuves regorgeront de moût" (Proverbes 3:9, 10). Le Seigneur aime que les fils des hommes se fondent sur Sa Parole pour l’éprouver. Il accomplira Sa Parole à tout moment. D’autre part, ceux qui étaient matériellement bénis par Dieu comme ils payaient leurs dîmes, perdirent toutes leurs possessions mondaines, quand ils retinrent ces dîmes et ne les donnèrent plus à Dieu. "Vous êtes frappés par la malédiction, et vous me trompez".

Dieu honore la confiance qu’on met en Lui. Jésus loua la pauvre veuve qui mit ses deux petites pièces dans le trésor de Dieu. Son don, quoique petit, avait, selon l’avis du Seigneur, plus de valeur que les grandes contributions des hommes riches, parce qu’elle eut, en plus de ce don, la foi que Dieu pourvoirait à ses besoins futurs. La veuve donna tout ce qu’elle avait – "tout ce qu’elle avait pour vivre". Le même Seigneur ne voit-Il pas les dîmes que les Siens payent avec difficulté? Si elles sont données avec une foi simple, le Seigneur ne manquera jamais de prendre note du don, et de bénir le donneur.

Que dire des dettes? Certains pourraient se poser la question de savoir s’il ne serait pas préférable de payer les dettes avant de payer les dîmes. C’est une question de savoir s’il est préférable de devoir à Dieu ou à l’homme. La malédiction de Dieu est prononcée contre ceux qui retiennent leurs dîmes, mais la bénédiction de Dieu a toujours suivi ceux qui payent consciencieusement leurs dîmes. La sagesse et la prudence ne dicteraient-elles pas que les dettes terrestres seraient plus vite payées, si la bénédiction de Dieu demeure sur la vie, plutôt que ce soit la malédiction?

A Qui?

"Ne savez-vous pas que ceux qui remplissent les fonctions sacrées sont nourris par le temple, que ceux qui servent à l’autel ont part à l’autel? De même aussi, le Seigneur a ordonné à ceux qui annoncent l’Evangile de vivre de l’Evangile" (1 Corinthiens 9:13, 14). Jésus a dit aux soixante dix disciples qu’il a choisis:"L’ouvrier mérite son salaire" (Luc 10:7). Alors, ceux qui donnent leur temps, leurs talents, et travaillent à la prédication et à la publication du vrai Evangile sont dignes de recevoir les dîmes d’autres Chrétiens. Les dîmes sont aussi utilisées pour construire et entretenir la Maison de Dieu.

Le Chrétien doit faire attention en ce qui concerne celui à qui il paye ses dîmes. Jésus avertit:"Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtements de brebis, mais au-dedans ce sont des loups ravisseurs. …à leurs fruits que vous les reconnaîtrez" (Matthieu 7:15, 20). Sondez bien l’église et son message, puis soyez sûr que ce message est à la hauteur des normes précises de la Parole de Dieu, avant de payer les dîmes dans cette organisation. "N’ajoutez pas foi à tout esprit; mais éprouvez les esprits, pour savoir s’ils sont de Dieu, car plusieurs faux prophètes sont venus dans le monde" (1 Jean 4:1). La personne qui aide à répandre la fausse doctrine en payant des dîmes ou de l’argent à ces structures prend part à leurs mauvaises actions.

Le Succès

L’Eglise peut-elle avoir des moyens financiers pour substituer quelque chose d’autre au plan financier de Dieu? Plusieurs organisations ont essayé tous les projets de financement excepté le plan de Dieu, et elles ont échoué dans leurs efforts. Cependant, le peuple qui est prêt à obéir à la Parole de Dieu a démontré la véracité de Ses promesses.

Dans les églises de La Foi Apostolique, un réceptacle est placé à l’arrière de l’auditorium de l’église pour recevoir les dîmes et les offrandes. On ne tient pas les registres des individus qui payent. Nul ne sait combien chacun met dans la caisse de Dieu, excepté le donneur et Dieu; mais la véracité de la promesse de Dieu a été démontrée à maintes reprises. Les dîmes ont été apportées à la maison du trésor, les écluses des Cieux ont été ouvertes, et les bénédictions de Dieu déversées jusqu’à ce que l’Evangile fasse le tour du monde. "Si vous savez ces choses, vous êtes heureux, pourvu que vous les pratiquiez" (Jean 13:17).

Questions
QUESTIONS
  1. Qui fut le premier à payer les dîmes? A qui les paya-t-il?
  2. Comment Jacob se sentit-il au sujet de la question du payement de la dîme?
  3. Que dit la Loi de Moïse au sujet de la loi sur le payement de la dîme?
  4. Les Enfants d’Israël étaient-ils toujours attentifs à payer leurs dîmes?
  5. Que pense Dieu de ceux qui Le privent de leur dîme?
  6. Que dit Jésus concernant le payement de la dîme?
  7. Des gens doivent-ils se considérer trop pauvres pour donner au Seigneur ce qui Lui est dû?
  8. Comment l’Esprit, à travers Paul, fit-Il connaître le plan financier de Dieu pour l’Eglise?
  9. Pour quels buts les dîmes doivent-elles être utilisées?