Proverbes 6 : 1 - 19

Lesson 279 - Senior

Memory Verse
VERSET DE MEMOIRE : “Le précepte est une lampe, et l’enseignement une lumière, et les avertissements de la correction sont le chemin de la vie” (Proverbes 6 : 23).
Cross References

I La Sagesse de la Prudence

1. Les embrouillements du cautionnement sont montrés : Proverbes 6 : 1 - 5.

2. Les vertus de la diligence au travail et la malédiction de l’oisiveté sont dépeintes : Proverbes 6 : 6 - 11.

3. La fin tragique du méchant est certaine : Proverbes 6 : 12 - 15.

II Les Choses que Dieu Hait

1. Les orgueilleux sont en abomination à Dieu : Proverbes 6 : 16, 17 ; 11 : 2 ; 13 : 10 ; 16 : 18 ; 21 : 4 ; Psaumes 10 : 4 ; 119 : 21 ; Habacuc 2 : 4 ; Marc 7 : 20 - 23 ; 1 Timothée 3 : 6 ; 1 Jean 2 : 16

2. Le menteur est classé dans la même mauvaise catégorie : Proverbes 6 : 17 ; 11 : 1 ; 19 : 9 ; Psaumes 15 : 1, 2 ; 63 : 12 ; Esaïe 44 : 24, 25 ; Ephésiens 4 : 25 ; Apocalypse 21 : 8.

3. Les meurtriers figurent aussi sur la liste : Proverbes 6 : 17 ; Genèse 4 : 8 - 15 ; 49 : 5 - 7 ; Exode 20 : 13 et Matthieu 19 : 18 cf. Matthieu 5 : 21, 22 et 1 Jean 3 : 15 ; Romains 1 : 28 - 32 ; 1 Pierre 4 : 15 ; Apocalypse 21 : 8.

4. La condition de celui qui médite les projets iniques est montrée devant Dieu : Proverbes 6 : 18 ; Genèse 6 : 5 - 7 ; 8 : 21 ; Psaumes 10 : 2 ; 38 : 13 ; 33 : 10 ; Romains 1 : 20 - 25 ; 2 Corinthiens 10 : 5 ; Job 5 : 12.

5. Le fomentateur de troubles découvre que lui et sa malice sont tous deux haïs par Dieu : Proverbes 6 : 18 ; 1 : 10 - 19 ; 4 : 14 - 19 ; Esaïe 59 : 1 - 8 ; Michée 2 : 1 - 3 ; Actes 13 : 10, 11 ; Romains 3 : 10 - 18 ; Psaume 10 : 4 - 11.

6. Un faux témoin ne restera pas inpuni : Proverbes 6 : 19 ; 19 : 5, 9 ; 24 : 28 ; 25 : 18 ; Psaume 24 : 3, 4 ; Matthieu 5 : 33 ; Exode 20 : 7 ; 23 : 1 ; Deutéronome 19 : 16 - 21 ; Zacharie 5 : 3, 4 ; Malachie 3 : 5.

7. La dernière abomination citée est l’inexcusable exciteur de querelles entre frères : Proverbes 6 : 19 ; 16 : 28 ; 2 Thessaloniciens 3 : 11, 12 ; 1 Timothée 5 : 13 ; 1 Pierre 4 : 15 ; Osée 8 : 7 ; Galates 6 : 8.

Notes
COMMENTAIRE

En réalité, volumineux ont été les efforts rhétoriques des hommes qui, dès les premiers jours, ont essayé de montrer les voies empruntées par l’humanité qui sont agréables à Dieu ainsi que celles qui ne Lui sont pas agréables. Mais dans la Bible se trouve un exposé simple et concis, compréhensible et clair de ces choses qui ne sont pas agréables à Dieu. Cet exposé est le thème de notre leçon.

Dans le chapitre, ces quelques versets sont précédés de plusieurs passages qui enseignent la sagesse de la prudence dans nos affaires temporelles et dans nos attitudes spirituelles. Et en considérant ce que nous avons choisi comme thème de cette leçon, nous ne voulons pas donner l’impression que nous considérons les autres parties du chapitre comme étant de peu d’importance. L’espace ne permet pas de développer entièrement le chapitre, et puisque le message que véhicule la première partie n’a pas besoin d’explications supplémentaires, nous commencerons ces commentaires par une analyse du message qui, bien que concis en soi, englobe néanmoins tout dans son étendue, et est d’une grande envergure dans ses ramifications.

"Il y a six choses que hait l’Eternel, et même sept qu’Il a en horreur".

C’est de cette manière que les quatre versets que nous considérons nous sont introduits. Nous devons méditer sur ce verset si nous voulons tirer plein profit de ceux qui suivent.

"L’Eternel" n’est personne d’autre que Jéhovah, le Dieu de l’univers qui fait et garde les alliances, le Dieu de miséricorde, d’amour et de bonté, le Dieu dont la sainteté est absolue et parfaite, le Dieu qui ne peut pas regarder le péché avec un degré de tolérance, le Dieu qui ne fait point acception de personnes. Ce Dieu est capable de haïr – une haine qui est parfaite, qui est justifiée, et qui, nous pouvons le dire, est en elle-même, l’essence même de Sa sainteté immaculée et de Sa pureté.

Nous voyons que, lorsque les hommes haïssent, ils sont coupables de péché – en réalité du péché du meurtre même. Mais la haine de Dieu est tout à fait différente de celle qui est commune en l’homme non régénéré. L’homme cherche souvent la vengeance à cause de la haine. Il hait parce qu’il est coupable de jalousie. Il hait parce qu’il ne peut pas faire sa propre volonté ou voir s’exécuter les plans qu’il a conçus. Mais la haine de Dieu est une haine contre le péché. Il méprise l’impureté, ce qui est profane et souillé. Il hait la rébellion. Et tout naturellement et de façon légitime, Dieu hait l’orgueil qui enverrait l’humanité à la mort et au désespoir éternel, si on lui permettait de demeurer dans le cœur.

Dieu hait ce qui est contraire à Sa volonté parfaite, parce que toute autre voie que la Sienne conduit à la ruine et au désespoir éternel. Dieu hait l’effusion du sang innocent. Dieu hait aussi d’autres choses, et lorsque nous les considérons, nous verrons plus de raisons pour lesquelles Il peut les haïr ; et Il le fait dans la justice et dans la pureté de la sainteté. Mais pour que l’homme pense qu’il peut de façon coupable haïr parce que Dieu manifeste la haine de ces manières, n’est rien qu’une démonstration de la première chose qui est mentionnée dans cette liste biblique des choses qui sont en abomination à Dieu. Une personne qui, pour cette raison, donne des excuses pour son péché de haine, est pleine d’orgueil. Considérons donc ce péché grossier et fondamental.

L’Orgueil Dans Les Cœurs Des Hommes

L’orgueil peut être défini comme une vanité, ou des délices déraisonnables ou démesurées dans la position, les exploits ou les possessions d’un homme. La Parole de Dieu nous dit que l’orgueil du cœur peut tromper celui qui lui permet d’y demeurer. Donc, à partir de cette définition et de l’injonction biblique concernant ses manifestations astucieuses, nous pouvons voir qu’il est une chose très dangereuse.

Puisque les manifestations de ce terrible péché sont si subtiles et si fatales, il est important que nous nous examinions constamment pour voir si les petits et insignifiants débuts de ce péché sont présents en nous. On pourrait dire : "Mais l’orgueil que j’ai est très petit et très insignifiant, que sûrement il ne peut pas être mauvais et dangereux". Mais si dans ses caractéristiques inhérentes et intrinsèques, il est capable de tromper celui qui lui permet de demeurer dans son cœur, il ne doit pas être toléré, ni autorisé à y demeurer sans être extirpé.

Permettre à une chose qui finirait par nous détruire de demeurer en nous, cette chose qui nous trompe tout le temps quand on considère son vrai caractère et l’œuvre de destruction qu’elle est en train d’accomplir, serait vraiment une folie. Le fait même qu’une personne ferait une telle déclaration dans le but de défendre les soi-disant petits débuts de ce péché terrible prouve, sans aucun doute, que la tromperie a déjà commencé dans ce cœur. Alors les débuts, comme nous pouvons le voir, ne sont pas du tout petits. Ils sont fatals ; et s’ils ne sont pas extirpés et détruits, les conséquences futures seront désastreuses. Leur œuvre meurtrière a commencé et la couverture par le caractère trompeur de ce péché rend la victime inconsciente de l’effet réel du péché. Ce n’est pas étonnant que Dieu déteste l’orgueil!

"Mais quel est le péché réel dans l’orgueil”? pourrait-on se demander. L’orgueil élève l’homme, la créature ; et l’orgueil abaisse Dieu, le Créateur. L’orgueil élève l’homme dans son amour propre et, de ce fait, le rend coupable d’idolâtrie, car il donne son adoration et son attention à quelque chose d’autre que Dieu. Tout ce qui prend la place de Dieu dans le cœur est une idole. Si nous sommes fiers de notre position, de nos exploits ou de nos possessions, ces choses ont ainsi pris la place de Dieu dans nos affections et dans notre attention. Les orgueilleux sont donc, non seulement coupables de l’exaltation de soi et de la diffamation de Dieu, mais aussi sont coupables d’idolâtrie. Dieu jugera et condamnera l’idolâtre, et le cœur orgueilleux Lui est en abomination.

Les Langues Menteuses De L’Humanité

Puisque Dieu est un Dieu qui fait et garde les alliances, et puisqu’Il a créé l’homme à Son image, et désire que l’humanité demeure toujours comme Lui, nous voyons, du tout premier examen de cette portion du texte de notre leçon, que ceux qui disent des mensonges Lui sont en horreur.

Les hommes ont classé les mensonges, disant qu’il y en a qui sont justifiés par les circonstances, et qui ne sont donc pas des péchés. Mais Dieu a prononcé un jugement sur "tous les menteurs," disant que leur part serait la seconde mort de laquelle il n’y a aucun espoir de délivrance.

"Tous les menteurs" incluent certainement les soi-disant menteurs blancs. Les manœuvres de la diplomatie internationale ou personnelle, où l’on dit Non lorsque c’est Oui, où une promesse est faite mais on ne s’efforce jamais de l’accomplir, ou bien, là où une déclaration contraire à la réalité est faite, sont des mensonges et ils sont condamnés par Dieu.

Certaines personnes justifieraient un mensonge, s’il est utilisé, comme elles le disent, pour faire progresser le Royaume de Dieu. Les voies de Dieu sont vraies. Jésus est la Vérité. Le Saint-Esprit conduit dans toute la Vérité. La Parole de Dieu est la Vérité. Dieu ne peut pécher. Dieu ne peut mentir. Et Ses serviteurs ne pécheront ni ne mentiront non plus, encore moins le feront sous prétexte de faire avancer Sa cause par un tel péché.

Le Meurtre

Dès les tout débuts des temps, Caïn tua Abel et devint le premier meurtrier dont on fit mention. Le jugement de Dieu fut rapide et certain sur Caïn ; et lui-même affirma que sa punition était si grande qu’il ne put la supporter. La vie nous est donnée par Dieu et c’est son droit exclusif de la reprendre. Sous la Loi Mosaïque, Dieu donna aux autorités reconnues le droit d’ôter la vie humaine, ce qui était un châtiment civil pour certains péchés. Il ordonna aussi spécifiquement que toutes les nations qui haïssent Dieu fussent exterminées de la terre pour empêcher leur progression dans leurs voies destructives. Mais le droit fondamental d’ôter la vie demeure Sien.

Le meurtre, c’est le fait de tuer un être humain par malice préméditée. Tuer dans une guerre injustifiée est un meurtre. Les soi-disant euthanasies et les avortements provoqués sont des meurtres. Les meurtres accidentels ou la mise à mort d’animaux ne doivent pas être considérés comme des meurtres. Le commandement : "Tu ne tueras point" nous a été interprété et expliqué dans le Nouveau Testament. En premier lieu, il est réaffirmé là comme étant effectivement : "Tu ne tueras point" (Matthieu 19 : 18). Et Jésus interpréta la Loi et montra les plus grandes exigences du Nouveau Testament en nous disant que, si nous haïssons quelqu’un, nous sommes coupables du péché de meurtre (Matthieu 5 : 21, 22 ; 1 Jean 3 : 15).

Le suicide est aussi un meurtre. L’homme n’a aucun droit de s’ôter la vie. Il est vrai qu’en commettant le suicide, une personne pèche contre elle-même, et à cause de cela, elle doit souffrir les conséquences de ce péché. Or celui qui se suicide pèche aussi contre Dieu, et aura à répondre de ce péché lorsqu’il se tiendra devant le Trône.

Les Quatre Abominations Restantes

Les quatre choses restantes que Dieu hait, et que nous avons encore à considérer, ne constituent pas moins une abomination devant Dieu. Le "Cœur qui médite des projets iniques" et "le faux témoin qui dit des mensonges" sont inclus dans ce que nous avons déjà écrit concernant les langues menteuses de l’humanité. Le cœur des hommes, depuis la chute de l’homme au commencement, a été corrompu et incliné au mal. Satan ne perdit aucun temps pour avilir entièrement ceux qui, par désobéissance à Dieu, choisirent de quitter le Royaume de la justice pour entrer plutôt dans celui du mal. Depuis ce temps, il y a eu dans le monde un accroissement continu de l’impiété. Cette impiété devint si répandue à un moment que Dieu détruisit la population entière du monde, à l’exception d’une petite poignée de personnes qu’Il épargna dans l’Arche. Mais le péché fondamental de ceux qui périrent dans le déluge, et de toute l’humanité qui a gardé sa nature pécheresse depuis le Déluge a été le fait que "toutes les pensées de leur cœur se portaient chaque jour uniquement vers le mal" (Genèse 6 : 5).

Les désirs de l’homme sont mauvais. L’inclination de son cœur est vers le péché. Il conçoit le péché, et ensuite le commet. Ceci est le résultat de sa nature pécheresse. Il n’y a rien d’autre à espérer de lui dans son état non régénéré. La seule voie qu’il puisse suivre est celle qui mène au Calvaire, à travers la prière de repentance, s’il veut échapper aux jugements de l’éternité. La voie de la vérité n’est pas en lui. Il dit des mensonges – ou dit la vérité – comme bon lui semble, et selon qu’il est conduit par celui qu’il a pris pour son maître à la place du seul vrai Maître, le Seigneur Dieu Tout-Puissant. L’homme dans cet état non régénéré est alors en abomination à Dieu. Il demeurera dans cet état terrible et sans espoir, à moins qu’il se détourne de son péché et invoque la miséricorde de Dieu, qui l’appelle continuellement à la repentance et au salut.

"Les pieds qui se hâtent de courir au mal" et "celui qui excite des querelles entre frères" sont différents seulement dans leurs champs d’action, ou les gens qu’ils influencent ou à qui ils nuisent.

Le mal est défini comme étant un trouble ou une vexation causé par l’action humaine. Dieu nous a appelés à la paix. Il nous a dit que nous devons être patients, miséricordieux, aimables et doux. Le fomentateur de troubles fait tout à fait le contraire de ceci. Celui qui cause la vexation, ou qui s’en réjouit lorsqu’elle est commise par d’autres personnes, ne suit pas certainement les désirs de Celui qui est infiniment Saint et Qui veut que nous soyons comme Lui. Il nous a dit : "Recherchez la paix avec tous, et la sanctification, sans laquelle personne ne verra le Seigneur" (Hébreux 12 : 14).

Celui qui excite des querelles est en abomination à Dieu, surtout lorsqu’il excite des querelles entre frères. Cette personne, en réalité, est en train de contrarier l’œuvre de Dieu et d’entraver le Royaume de Christ. Elle est, de cette manière, alliée à l’esprit de l’antéchrist.

Là où il y a la paix, le semeur de discorde fait la guerre. Là où il y a la confiance, il apporte la méfiance. Là où il y a la confiance, la foi, et l’espérance, cet indigne, qui est haï de Dieu, met en cause une ou l’ensemble de ces vertus saintes. D’autres personnes construisent par la grâce et la sagesse de Dieu, mais cette personne détruit ce qui a été construit. D’autres s’appliquent à construire ces choses qui dureront et qui feront progresser le Royaume des Cieux, mais cette abominable personne œuvre de façon subtile afin de détruire même ce qui a été élevé à l’honneur et à la gloire de Dieu seul.

Ce semeur de discorde ne se sert pas toujours de la vérité. Il ment ou suggère des erreurs. Il n’a pas toujours besoin de faits, car son œuvre semble mieux prospérer si les faits ne sont pas connus et s’ils sont substitués aux soupçons. Il suit l’exemple de son maître, Satan, qui est l’accusateur des frères ; et son maître est prompt à lui donner toute l’aide dont il a besoin pour mener à bien son œuvre pour la cause infâme.

La Nécessité De La Vigilance

Ne soyons pas alliés à ce grand ennemi des âmes des hommes en étant coupables de quelque chose que Dieu hait et qui Lui est en abomination. Nous voyons, d’après l’expression de notre texte, que Dieu hait non seulement les choses qui y sont mentionnées, mais qu’Il considère aussi les personnes qui font ces choses comme une abomination devant Lui.

Nous ne sommes pas dignes de l’amour de Dieu, de la miséricorde de Son sacrifice, ou de Sa bonté. Mais Il nous a accordé toute grâce excellente et tout don partfait à cause de cet Amour, de cette miséricorde, et de cette bonté. Puisque ces attributs sont infinis et éternels dans leur étendue, ils peuvent atteindre même les plus souillés de l’humanité. L’enfer sera une place d’horreur infini, parce que tous ceux qui y seront sauront qu’ils sont haïs de Dieu. Etre haï de Dieu et ne pas être aimé de Lui, ne pas être bénéficiaire de Sa miséricorde, et ne pas être béni par Sa bonté, seraient pires que ce qu’on pourrait imaginer.

Combien nous sommes reconnaissants de ne pas avoir à entrer dans ce lieu de désespoir! Un verset biblique simple, bien-aimé, et le plus souvent cité est suffisant pour nous donner l’espérance dont nous avons besoin. Si nous recevons le message de ce verset, et recevons le Don que Dieu fit, nous ressentirons plutôt les joies d’une béatitude éternelle, la paix qui défie la description ou l’analyse, et toutes les autres bénédictions et les récompenses éternelles qu’Il nous a promises. Combien nous sommes reconnaissants que : "Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle" (Jean 3 : 16)!

Questions
QUESTIONS
  1. Pourquoi doit-on faire attention en prenant la responsabilité de cautionner un autre?
  2. Que nous demandent de faire les premiers versets de notre leçon si nous avons accepté cette responsabilité?
  3. Quel exemple dans la nature, Dieu se sert-Il pour nous enseigner l’assiduité au travail?
  4. Quel est le résultat de la paresse dans les affaires spirituelles et temporelles?
  5. Quelle est la fin de l’homme méchant?
  6. Nommez les sept choses que Dieu hait et qui Lui sont en abomination.
  7. Prenez chacune de ces sept choses et dites pourquoi elle est haïe de Dieu, et quels seront les effets si elle est autorisée à demeurer non extirpée?
  8. Citez d’autres versets de l’Ancien et du Nouveau Testaments pour montrer le mal extrême qu’il y a dans chacune de ces sept choses.
  9. Quelle espérance a la personne qui est coupable de ces choses?
  10. Apprenez par cœur et citez Romains 5 : 8 à ceux que vous pensez qui sont sans espérance en Dieu.