Actes 14:1-28

Lesson 326 - Senior

Memory Verse
VERSET DE MEMOIRE:"Qui nous séparera de l’amour de Christ? Sera-ce la tribulation, ou l’angoisse, ou la persécution, ou la faim, ou la nudité, ou le péril, ou l’épée?" (Romains 8:35).
Cross References

I Paul et Barnabas, Deux des Fidèles Missionnaires de Dieu

1. A Icône, dans la synagogue juive, Paul et Barnabas prêchèrent hardiment l’Evangile à plusieurs:Actes 14:1; 13:5; 18:19; Jean 6:59; 18:20; Romains 1:16; 2:9, 10.

2. Paul et Barnabas continuèrent pour longtemps l’œuvre à Icône; et là, Dieu mit Son approbation sur leur œuvre:Actes 14:3; 4:13, 31; 19:8; Marc 16:17.

3. La persécution, qui commença au début même, les poussa finalement à se rendre à Lystre:Actes 14:2, 4-6; Matthieu 10:5-33; 1 Corinthiens 4:10-13; 2 Corinthiens 4:8-10.

4. A Lystre, ils prêchèrent l’Evangile et virent un merveilleux miracle s’accomplir:Actes 14:7-10; 3:6-8.

5. Paul et Barnabas, en tant que vrais hommes de Dieu, refusèrent d’accepter que le peuple les adorent, et ils leur dirent d’adorer Dieu:Actes 14:11-18; 12:21-23; 28:6; Matthieu 4:10.

6. Les Juifs incrédules, zélés dans leur méchanceté, firent lapider Paul:Actes 14:19, 20; 2 Corinthiens 11:24-27; 2 Timothée 3:10-12.

7. La vie de Paul fut épargnée, et il partit avec Barnabas pour Derbe, pour y prêcher l’Evangile:Actes 14:20, 21; 5:18, 19; 12:7; 16:26; 1 Samuel 17:37; Daniel 3:27; 6:22.

8. Au cours du voyage de retour à Antioche, les missionnaires évangélistes ont accompli beaucoup de choses en ce qui concerne l’instruction, la fermeté, l’encouragement, et l’organisation parmi les nouveaux frères:Actes 14:21-28; 1 Timothée 4:1-5.

Notes
COMMENTAIRE

Le Voyage Missionnaire

"Il y avait dans l’Eglise d’Antioche des prophètes et des docteurs:Barnabas, … et Saul …, le Saint-Esprit dit:Mettez-moi à part Barnabas et Saul pour l’œuvre à laquelle je les ai appelés. Alors, après avoir jeûné et prié, ils leur imposèrent les mains, et les laissèrent partir" (Actes 13:1-3). Ainsi commença le premier d’une série de voyages missionnaires entrepris par Paul l’Apôtre. Cette leçon met en relief certains des événements qui eurent lieu au cours de ce premier voyage–événements auxquels Paul se référait lors de la rédaction de ses dernières lettres. Il est intéressant de lire ce qui a été écrit concernant la fin de ce voyage. Le récit affirme qu’ils"s’embarquèrent pour Antioche, d’où ils avaient été recommandés à la grâce de Dieu, pour l’œuvre qu’ils venaient d’accomplir".

Voici donc deux courageux hommes de Dieu qui bravèrent les dures épreuves du premier voyage du siècle, allant dans des pays étrangers, vers des peuples étrangers pour leur porter l’Evangile du Royaume. Voici deux hommes qui avaient été mis à part par le Saint-Esprit pour l’œuvre de Dieu, et qui, non seulement s’élancèrent dans cette œuvre, mais ne se détournèrent jamais de l’appel de Dieu bien que cela leur coûtât beaucoup de souffrances et de honte. Non seulement ces hommes furent"recommandés à la grâce de Dieu pour l’œuvre", mais ils accomplirent cette œuvre. Il est bon que nous suivions leur exemple. Il est bon que nous voyions comment ils se furent conduits dans cette importante œuvre. Il est bon que nous voyions comment l’œuvre de Dieu était exécutée pour que nous puissions suivre leur exemple dans l’œuvre qui est la nôtre aujourd’hui.

"Aux Juifs Premièrement"

Tout d’abord, nous devons noter le fait que Dieu a toujours un plan précis pour Son œuvre. Il ne nous indique pas un but à atteindre, et ensuite nous laisse entièrement trouver les méthodes ou les moyens pour l’atteindre. Lorsqu’Il ordonne, Il trace un chemin. Et lorsqu’Il ordonne, Il montre aussi le chemin. Il n’y a pas beaucoup de chemins à emprunter lorsque nous suivons Sa volonté. Il n’y aura qu’un seul chemin qui soit tout à fait juste. Si nous ne marchons pas dans la voie de Dieu, nous pouvons être sûrs que, dans Sa miséricorde, Il utilisera les moyens nécessaires pour nous ramener dans Sa voie, si nous avons dans le cœur le désir, avant tout, de faire Sa volonté et de marcher dans Sa voie.

Dieu a de la patience à cause de la limitation de notre perception de Sa volonté parfaite pour nous; et si nous échouons, Il traite avec nous comme avec des fils. Mais si volontairement et délibérément nous nous détournons de Sa voie, en préférant nos propres méthodes, nos plans ou nos décisions, nous nous verons avec le temps entièrement privés de Sa providence.

Ces deux missionnaires autonomes de l’Eglise Primitive suivirent entièrement la volonté et le plan de Dieu (Lisez 1 Corinthiens 8:1-15). Dieu avait clairement exprimé Sa volonté que l’Evangile devait être premièrement annoncé aux Juifs. Plus tard, Il fit connaître à Ses Apôtres qu’il devait être annoncé aux Païens aussi. Certains Juifs avaient eu des occasions en or d’accepter leur Messie et de Le suivre, et quelques-uns le firent. Mais une grande multitude de gens ne le firent pas; assumant plutôt, d’une façon ou d’une autre, la responsabilité de Sa mort.

Le plan de Dieu était que les Juifs reçussent premièrement les avantages de Son salut, afin qu’ils pussent évangéliser le monde. Et lorsque Dieu envoya Ses premiers missionnaires annoncer l’Evangile, ce plan fut exécuté, car ces deux hommes étaient des Juifs; et lorsqu’ils s’en allèrent, ils se rendirent premièrement chez les Juifs qui vivaient dans ces contrées éloignées et qui n’avaient pas encore entendu le message de l’Evangile. Il était normal que l’Evangile leur parvînt comme il était parvenu à ceux qui furent des témoins oculaires des miracles et de l’œuvre de Christ. Ainsi, tous les Juifs avaient l’occasion de se repentir et d’accomplir la volonté de Dieu les concernant.

La distance totale parcourue au cours de ce premier voyage missionnaire ne fut pas probablement moins de 1.500 miles (environ 2.414 kilomètres). Mais, malgré les difficultés qu’ils rencontrèrent, ils continuèrent jusqu’à ce qu’on pusse dire d’eux qu’ils avaient accompli l’œuvre que Dieu leur avait confiée. De petits navires, tels qu’on les utilisait à cette époque, augmentaient considérablement les désagréments du voyage maritime ordinaire. Ces deux hommes devaient aussi probablement faire à pied une grande partie du trajet terrestre. Mais ils n’hésitèrent pas à cause des épreuves ou des persécutions. Ils s’attachèrent à l’œuvre de Dieu jusqu’à ce qu’ils eussent accompli le travail qui était le leur.

Leur Manière d’Œuvrer

Il y a plusieurs points d’intérêt et d’instructions que nous devons remarquer en considérant cette leçon. En premier lieu, il est écrit qu’ils"parlèrent de telle manière qu’une grande multitude… crurent". Dans les dernières paroles de Christ à Ses disciples, Il dit:"Vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins". L’une des choses que tout travailleur de Dieu doit avoir est cette puissance.

Des âmes sont gagnées pour Dieu par le Saint-Esprit. Pour être un témoin compétent pour Dieu, nous devons avoir le Saint-Esprit avec nous. Ces deux témoins avaient cette puissance. Lorsqu’ils parlaient, des multitudes étaient emmenées à Dieu. Ils agissaient avec tact. Ils utilisaient la sagesse que Dieu leur avait donnée. Ils faisaient usage de tout leur pouvoir de persuasion. Ils se servaient des talents et des dons que Dieu leur avait donnés. Ils utilisaient toutes ces choses avec la ferveur et le zèle d’un apôtre; et, en plus, ils avaient la puissance de Dieu reposant sur leur vie. Et c’était cette puissance qui animait les cœurs.

Cette même puissance est pour nous aussi. Nous devons la chercher, la convoiter, et l’apprécier plus que toute autre chose. Quels que soient nos dons, notre capacité, nos talents, ou notre force, nous devons nous rendre compte que la chose la plus importante pour n’importe qui parmi nous–et pour nous tous–est d’avoir l’onction divine sur notre vie, notre message et notre travail. Que Dieu permette que, lorsque nous parlons, les hommes croient!

Les missionnaires restèrent longtemps à Icône, parlant avec assurance dans le Seigneur. Le Seigneur approuvait leurs méthodes, en permettant que les miracles promis accompagnassent leur ministère.

Un missionnaire est un évangéliste. Un évangéliste est un missionnaire. Il y a autant de prédications de l’Evangile pour maintenir une âme dans le Royaume que pour la gagner pour le Royaume en premier lieu. Une âme maintenue dans le Royaume est une âme gagnée pour le Royaume. Ces hommes de Dieu restèrent jusqu’à ce que ce fût la volonté manifeste du Seigneur qu’ils continuassent, ou jusqu’à ce que la porte de leurs prochaines activités fût fermée. Ils continuèrent sur d’autres champs et, plus tard, retournèrent pour instruire, affermir, exhorter et encourager davantage les frères. Et ensuite, lorsqu’il était nécessaire qu’ils allassent de l’avant, ils prenaient des dispositions pour le bien-être futur de l’Eglise, en ordonnant ceux que Dieu avait désignés en tant que leaders capables pour le corps des croyants, afin que l’œuvre qui avait été accomplie ne fût pas inutile.

Il est significatif que Paul ait dit à Timothée de faire l’œuvre d’un évangéliste, et qu’il ait pourtant inclus dans ces instructions les choses que nous pensons ordinairement comme étant exclusivement le travail d’un pasteur. Il est donc clair que nous devons tous faire de notre mieux pour gagner des âmes pour le Seigneur et, après les avoir gagnées, faire de notre mieux pour les aider à atteindre la pleine stature de la piété.

Une autre chose que nous ferions bien de remarquer est l’attitude des deux missionnaires envers ceux qui leur rendraient un honneur spécial.

Les gens de Lystre virent le miracle opéré, et se rappelèrent son authenticité par le fait que l’homme, qui a été boiteux depuis sa naissance, sautait et marchait devant eux. Des muscles qui n’avaient jamais été utilisés, ou qui ne s’étaient jamais développés ou rendus habiles dans l’art de marcher, se développèrent instantanément par la main de Dieu. On passe généralement des semaines à apprendre à marcher lorsque cet art n’est pas acquis dans l’enfance. Mais ici un homme a commencé instantanément, non seulement à marcher, mais à sauter. Il n’y avait pas de doute quant à la portée du miracle. Il fut opéré par quelque chose qui était au-delà de l’habileté et du pouvoir d’un homme ordinaire. Mais les gens se mirent à adorer les hommes de Dieu, au lieu de Dieu Lui-même.

Aucun vrai homme de Dieu ne se donne l’honneur et la gloire qui appartiennent à Dieu. Les vrais serviteurs de Dieu n’acceptent jamais d’être adorés, ni ne s’attribuent le mérite d’avoir accompli les œuvres de Dieu. Les serviteurs de Dieu sont humbles. C’est Dieu qui donne le pouvoir, la sagesse, la force, et les capacités qu’ils possèdent. Par conséquent, c’est Lui qui doit recevoir le mérite des miracles ou des réalisations. Il y a de nombreux incidents dans les Ecritures où des gens, qui avaient essayé de s’attribuer l’honneur et la révérence qui appartiennent à Dieu seul, furent frappés de jugement soudain.

Dans un moindre sens, on peut aussi dire que, lorsque nous manquons de comprendre jusqu’à quel point nous sommes incapables, et avons besoin de dépendre de Dieu pour la force, la sagesse, l’habileté et la puissance spirituelle dans tout ce que nous faisons pour Lui, nous échouons dans ce que nous avons entrepris de faire, parce que nous avons manqué de rendre à Dieu la gloire qui Lui est due. Si nous nous réjouissons du travail de nos mains, et manquons de voir que c’est Dieu qui l’a rendu possible et qui l’a couronné de succès à tout point de vue, le moins que nous fassions afflige l’Esprit de Dieu. Quelle onction du Saint-Esprit ou quel revêtement pouvons-nous espérer recevoir ou conserver, si nous manquons d’honorer Dieu en nous attribuant l’honneur qui devait être le Sien–même au plus petit degré? La Parole de Dieu est même plus claire dans ce sens–et plus condamnante–car elle soulève un doute quant à notre réelle délivrance du péché si nous cherchons et recevons l’honneur des hommes. Dans la Bible, nous lisons:"Comment pouvez-vous croire, vous qui tirez votre gloire les uns des autres, et qui ne cherchez point la gloire qui vient de Dieu seul?" (Jean 5:44). Le Psalmiste écrivit:"L’homme qui est en honneur n’a point de durée, il est semblable aux bêtes que l’on égorge" (Psaume 49:13). Lorsque Satan tenta Jésus en demandant au Fils de Dieu de l’adorer, Jésus répondit:"Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu le serviras lui seul" (Matthieu 4:10).

La conduite des hommes de Lystre est ici digne de considération. Le message de l’Evangile leur fut délivré. Ils adorèrent la créature au lieu du Créateur, mais furent empêchés par les hommes de Dieu de continuer dans cette adoration. Mais il est clair que les cœurs de ces hommes ne furent pas gagnés à la vraie adoration; car lorsque les Juifs incrédules vinrent d’Icône et d’Antioche, les gens de Lystre furent facilement persuadés à aller contre les choses qu’ils avaient vues. Ceux-là qui avaient très récemment vu les miracles de Dieu, se tournèrent maintenant en totale rébellion contre ce Dieu et contre Ses serviteurs. Paul fut lapidé et laissé comme mort.

La Victoire à Travers une Défaite Apparente

Imaginez la scène qui est devant nous:deux fidèles hommes de Dieu, entourés d’un groupe de croyants ravis de la puissance qui avait relevé un homme de l’impotence à la force vitale. Une multitude de spectateurs, bruyants dans leurs acclamations de louanges aussi longtemps qu’ils pouvaient suivre leurs propres désirs charnels, furent très vite repoussés par l’homme de Dieu. S’approchant d’eux, il y avait des vétérans de l’infamie et du rejet de Dieu, déterminés à faire du mal aux hommes qui ont apporté le message d’un Christ ressuscité. Alors, quelques mots furent prononcés. Un miracle fut oublié. La puissance de Dieu fut mise en doute. Une pierre fut lancée–et puis un flot de pierres furent lancées à l’homme de Dieu qui ne fit rien pour résister à leur attaque. Le groupe de croyants temporairement dispersés s’empressèrent, aussitôt qu’ils pouvaient le faire en toute sécurité, de se rassembler autour de leur leader tombé.

Pensez au compagnon de Paul, Barnabas. Il avait, en tant que Lévite par naissance, senti le plus grand appel et la responsabilité de la dispensation de l’Evangile; il avait vendu ses possessions de Chypre, et apporté l’argent aux Apôtres–non pas aux autorités du Temple–et avait commencé une ardente vie apostolique qui a laissé sa marque dans le monde. C’était lui qui avait amené Paul aux frères se trouvant à Jerusalem, lorsqu’ils le craignaient à cause de sa persécution de l’Eglise. Si Barnabas avait été un simple professeur de religion à l’esprit charnel, il aurait pu sentir qu’un plus grand honneur et un plus grand respect lui étaient dus à cause de son service préalable avec les Apôtres. Mais toutes ces œuvres de la chair ne se trouvaient plus dans son cœur et dans sa vie; car il est évident que Barnabas était prêt à être sous la direction de Paul. Il vit l’autorité de Dieu reposer sur ce précieux homme. Et maintenant, ce leader frappé de pierres est couché sur le sol, le corps ensanglanté et déchiré, silencieux et laissé pour mort.

Mais tout à coup, il y a un signe de vie! Il y a un mouvement! Et un relèvement! L’homme de Dieu est encore sur pied, et les soins d’amour ont commencé comme les serviteurs de Dieu dévoués et bienfaisants les donneraient naturellement à un humble serviteur de la Croix, mais choisi de Dieu. Paul commença à marcher! Un autre miracle avait été accompli! Il commença à proclamer une fois de plus la puissance de l’Evangile de Jésus-Christ.

Ce premier voyage missionnaire de Paul, effectué à peine à moitié avait été profitable pour le Royaume et avait provoqué la colère des disciples de Satan; mais il restait beaucoup de territoires à parcourir. Paul et Barnabas n’hésitèrent pas à s’occuper des affaires de leur Père. Ils furent courageux pour Dieu, et Dieu honora le travail qu’Il leur avait confié.

La dernière partie du voyage étant finalement effectuée, les hommes de Dieu ont joui de la communion des frères chrétiens à Antioche. Là, ils firent le rapport de tout ce que Dieu avait fait, à savoir que beaucoup étaient sauvés et conduits dans le domaine des bénédictions spirituelles, que les malades étaient guéris, et que l’adversaire avait suscité une opposition pour essayer de faire obstacle à la cause de Dieu. Ils firent aussi un rapport de la puissance de Dieu qui délivre et qui donne du succès.

Bien que Paul et Barnabas eussent une preuve incontestable de l’approbation directe de Dieu sur leurs méthodes et leur ministère, ces deux missionnaires reconnurent leur obligation envers ceux que Dieu a instruits de les envoyer et de les ordonner à l’œuvre missionnaire. Ils n’adoptèrent pas une attitude indépendante, mais se rendirent au siège à Antioche une fois le voyage terminé."Et ils demeurèrent assez longtemps avec les disciples", recevant pour eux-mêmes une force spirituelle et physique après le long et pénible voyage, et au même moment fortifiant et encourageant les frères qui les écoutaient.

Questions
QUESTIONS
  1. Tracez sur une carte l’itinéraire du premier voyage missionnaire de Paul.
  2. Chez qui et à quel lieu de réunion les missionnaires allèrent-ils premièrement?
  3. Racontez les faits que vous connaissez concernant Barnabas:sa nationalité, la place qu’il avait dans l’adoration à cause de l’héritage de sa famille, la chose remarquable qu’il avait faite concernant sa propriété à Chypre et l’attitude qu’il manifesta envers Paul premièrement et au cours de ce voyage.
  4. De quelle manière Paul et Barnabas obéirent-ils à Jésus, quand vint la persécution?
  5. Quel miracle fut opéré à Lystre? Décrivez ses effets sur les habitants de cette ville et donnez en vos propres termes la réponse de Paul.
  6. Qu’arriva-t-il à Paul à Lystre? Qui étaient à l’origine de ces faits?
  7. Que dit-on de notre délivrance du péché si nous cherchons l’honneur qui vient des hommes et non de Dieu?
  8. Enumérez les différents devoirs du ministère qui furent accomplis par Paul et Barnabas en tant que missionnaires.
  9. A partir de l’appréciation de cet exemple, quel est le vrai travail d’un missionnaire?
  10. Qu’est-ce qui est louable dans le retour de Paul et Barnabas à Antioche?